Une expression qui s’adresse plus généralement à des « poufs » et à leurs homologues, au masculin, qui ne disposent d’aucun autre charme que celui qu’elles affichent en ne s’affichant … jamais !
Ce vocable, par définition, et contrairement à ce quelques « végétaux » ont sans doute tenté de vous faire croire, il s’adresse indifféremment aux « hommes poufs » et aux « femmes poufs » !!
La méprise résultant notamment de ce que d’une manière assez répandue, on assimile « POUF » à une espèce de contraction de « POUFIASSE » … alors que sémantiquement parlant, la poufiasse, comme le précise le « petit Robert » désigne une « femme épaisse » (à tous les vrais sens figurés et pas figurés) alors que le POUF, désigne, à la fois être le compagnon d’une poufiasse, tout meuble ou immeuble susceptible de recevoir le cul d’une poufiasse ou, tout simplement, le bruit que fait une poufiasse en tombant sur son large fessier et gros, cul après de sanglantes défaites électives, entre autres …défaites !!!!
Touts les villes de France et de Navarre en conservent toujours expressément et précieusement quelques unes, et quelques uns, au titre d’exemplarité, et afin que les plus jeunes d’entre les jeunes les plus pertinents … comprennent qui est qui et apprennent à faire la différence entre les « poufs », leurs analogues, au masculin, et les autres …
Finalement les trinitaires ont la chance de ne pas en compter de trop nombreux parmi eux, et elles !.. A l’exception près, néanmoins, que ils, et elles, à La Trinité, ont à faire aux rois, et aux reines, bien entendu, de toutes les catégories et troupes confondues…. et connues de « poufs » !
En fait s’il vous arrive d’en croiser un, ou une, n’hésitez pas à faire claquer votre langue sur le palais … il parait que ça éloigne et vous protège des mauvaises ondes !!
Devons nous en rire ?
Bonne journée
MAXOU
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