mardi 20 septembre 2011

Faut-il épargner les cons ? ou tout simplement les fuir ?

Depuis que le monde est monde (ça a déjà été dit.. revu et corrigé..) les sociétés humaines qui habitent sa surface terrestre peuvent s’enorgueillir d’être « plurielles » …

Plurielles à tous égards mais plus particulièrement au regard des dotations (divines ou sataniques) qui qualifient, ou requalifient (lorsqu’il y a erreur au démarrage), chacune des composantes de ces sociétés.

C’est ainsi qu’on confronte une très grande diversité d’individus et que le commerce que nous sommes contraints d’entreprendre (parfois) avec chacun d’entre eux ne saurait bien se conclure sans une sérieuse prise en compte des cons …

Et en particulier ceux des cons qui s’ignorent parce qu’ils sont vraiment trop cons pour avoir conscience de leur immense connerie.

Et c’est précisément de ceux là au sujet desquels il s’agit aujourd’hui de, au moins, se poser la question de savoir quelles pourraient être leurs contributions à l’amélioration de la condition humaine, prise dans son sens le plus totalement exhaustif !

A priori on serait tentés de dire que c’est un faux problème au motif de ce que les cons ne contribuent qu’à produire des conneries et que les conneries ne sont pas en capacité de contribuer à autre chose qu’à ensemencer la grosse merde partout où elle s’exprime !

Mais c’est précisément là l’erreur de raisonnement qu’il conviendrait de ne pas commettre !

En effet au même titre que l’ombre permet de distinguer la lumière les cons permettent de distinguer ceux qui ne le sont pas !

Et ici il serait naturellement très absurde d’ajouter, en complément, ou pour la beauté de la rhétorique : « … ceux qui ne le sont pas ou ceux qui le sont moins… »..

Car il ne fait désormais plus de doute que personne ne saurait ignorer qu’au même titre qu’on ne peut pas être à moitié enceinte … on ne saurait être que la moitié d’un con !

D’ailleurs parmi les caractéristiques qui désignent les cons il en est une qui mérite notre attention et notre respect : c’est la constance et son irréversibilité.

Ce qui, quelquefois, incite les assertions les moins « émaillées » de précautions oratoires à dire que « quand on est con c’est pour la vie ».

Mais quelles que puissent être les formulations relatives à l’aspect pérenne de ses spécificités, il convient de bien se garder d’avoir à faire à des cons… en toutes circonstances !

ABRACADABRA

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