vendredi 16 septembre 2011

« FEINDRE D’IGNORER CE QU’ON SAIT ET DE SAVOIR TOUT CE QU’ON IGNORE .. VOILA TOUTE LA POLITIQUE .. » (Beaumarchais)

Alors là « y a pas photo » .. comme on dit !

On ne peut pas se tromper ! cette sentence ne vise pas tout le monde ! elle ne vise que celles et ceux qui font semblant ! et que semblant ! parfois mal, parfois mieux (mais c’est rare) !

On a déjà bien remarqué que parmi toutes les personnes interrogées il n’y a guère que celles et ceux qui « s’obligent » (à la mesure des contraintes qui leurs sont personnelles) qui ne parviennent décidément pas à ridiculiser tous ces guignols « à qui finalement il ne manque que la parole » !

Sans vouloir faire des analogies indélicates (avec d’autres espèces animales) on en arrive effectivement à regretter que ce soit là un déficit sérieux (et handicapant) qui n’autorisera jamais personne à estimer la profondeur des pensées qui agitent si furieusement les méandres de leurs cerveaux.

Dans certains des cas les plus singuliers (mais pas effarants) ce ne seront pas les appels au secours et à la multiplication des enseignements qui parviendront à contenter ces abyssales carences de savoir.

Les insuffisances et autres défections constituent un complément de nature dont les caractéristiques ont trop profondément façonné la personnalité de celle ou celui à qui elles s’appliquent pour pouvoir envisager un remodelage plus savamment aimable.

Mais ce qui demeure le plus surprenant c’est que malgré cet affichage grotesque et reconnu par le commun des mortels on puisse encore faire preuve d’allégeance à de tels caractères.

Le plus effarant (cette fois c’est la bonne) c’est qu’en quelques uns des milieux du genre « nous on est de vrais trinitaires de souche » nous avons décelé deux ou trois « fils et filles de famille » (comme on dit) dont personne aurait pu imaginer que les degrés respectifs d’instruction qui les qualifient parmi les plus pertinents (à vérifier) aillent perdre leur temps ( peut être un peu de leur âme) et la « superbe » à laquelle les destinent leurs parents … « aux arrières » de « si peu de considération » .. ??

Mais n’est il pas vrai, une fois de plus, qu’il faut de tout pour faire un monde ?

A bon entendeur salut !!

Jean Delafeuille

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