vendredi 4 mai 2007

Dernier sondage TNS-Sofrès Unilog RTL-Le Figaro-LCI.



Dernier sondage tombè ce matin.......................

Après le débat, Sarkozy prend le large

A deux jours du second tour de la Présidentielle, Nicolas Sarkozy domine toujours les sondages. L'écart qui le sépare de Ségolène Royal est même spectaculaire (dernier baromètre TNS-Sofrès Unilog RTL-Le Figaro-LCI).

Dans cette enquête réalisée après le débat télévisé de mercredi, le candidat UMP l'emporterait avec 54,5% des voix contre 45,5% pour sa rivale socialiste. Mais rien n'est jamais joué.

Neuf points d'écart

Qui a gagné ? Qui a perdu ? la question qui se posait après le débat radiotélévisé entre les deux finalistes de la Présidentielle trouve une première réponse. Nicolas Sarkozy n'a jamais été aussi haut dans les intentions de vote. Une situation flagrante au regard de la Vague 24 du baromètre TNS-Sofrès Unilog RTL-Le Figaro-LCI (*) rendu public vendredi (4 mai).

Selon cette enquête réalisée après le face-à-face de mercredi soir, le candidat UMP est crédité de 54,5% d'intentions de vote, soit une progression de deux points et demi par rapport à la dernière étude. Ségolène Royal opère une chute brutale et exceptionnelle, puisqu'elle ne recueillerait que 45,5% des voix.

Avec neuf points d'écart, le candidat de l'UMP dépasserait le score de François Mitterrand en 1988 où il avait recueilli 54,01% de voix. Il se rapprocherait du général de Gaulle qui avait en 1965 recueilli 55,20% des suffrages.

Les électeurs bayrouistes guère convaincus

Les voyants sont au rouge pour la candidate socialiste. Elle était encore, la semaine passée, majoritaire chez les Français de moins de 50 ans. Aujourd'hui, seuls les jeunes de moins de 25 ans la plébiscitent. Elle est certes en tête dans l'électorat ouvrier, mais de très peu. Commerçants, chefs d'entreprise, cadres, employés, inactifs, retraités : tous préfèrent Nicolas Sarkozy.

Alors comment expliquer cette vague sarkozyste ? Il y trois raisons. D'abord, les électeurs de François Bayrou n'ont pas été convaincus par la danse du centre de la candidate. Ils ne sont plus que 35% à voter Royal, et 40% semblent prêts à glisser un bulletin Sarkozy dans l'urne. Les autres préfèrent s'abstenir.

Deuxième raison : les trois-quarts des électeurs de Jean-Marie Le Pen ne respectent pas sa consigne d'abstention massive. 61 % plébiscitent Nicolas Sarkozy, quand 12% optent pour la candidate socialiste. Ils sont 27% à compter s'abstenir ou à ne pas donner d'intention de vote.

Mauvais reports

Enfin, troisième explication : la stratégie d'ouverture au centre de Ségolène Royal semble effrayer une partie de l'extrême gauche. Ainsi, seuls 58 % des électeurs d'Olivier Besancenot assurent qu'ils voteront pour la candidate socialiste. 15% choisissent Nicolas Sarkozy, et 27% ne se rendraient pas aux urnes, voteraient blanc ou n'ont pas exprimé leur intention de vote.
Même les électeurs de Ségolène Royal semblent résignés : ils ne sont plus que un sur quatre à pronostiquer sa victoire.

Notez que 84% des sondés sont sûrs de leur choix, alors que 14% pourraient changer d'avis.

ET OUI SEGOLENE LE MENSONGE NE PAIE PAS....................................

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