Alors et très brièvement :
Dans la vie profane, toutes conditions confondues, c’est un individu qui ne peut pas prétendre avoir conduit des « actions » remarquables, dignes d’intérêt et exposées aux critiques, fussent elles « mauvaises » ! D’ailleurs un certain « Diogène » ne disait il pas qu’il vaut mieux exister par la critique que d’être méconnu par défaut ? …
Il convient, peut être, d’ajouter à ceci que le « GUIGNOL » n’est généralement pas très conscient le l’importance des carences qui « affectent » son jugement et, par voie de conséquences, directes et indirectes, son « libre arbitre » ! Mais à l’évidence, ce sont des traumatismes dont, fort heureusement pour lui, il ne semble pas être en position de mesurer la gravité des inductions.
Bon il est vrai que, d’une manière assez planétaire, l’ « Inculture des GUIGNOLS » et la manière qu’ont les « plus dramatiquement atteints » d’en gérer les très pénibles et redoutables inconvenances, se révèle assez « généreusement protectrice » de façon à, sans doute, ne pas « aggraver les écarts » entre ceux qui disposent de quelques facultés et ceux qui, très redoutablement, n’en possèdent aucune autre que celles visant à les contraindre aux plus abjectes actions, dont celles qui ne sont même pas inscrites au « Grand Registre des Actions les plus Viles » (et connu sous l’abréviation de « GRAV ») …
Bon ne vous méprenez pas, il ne s’agit pas ici de vilipender tous ceux des GUIGNOLS qui, à des motifs dont on ne comprend pas trop la légitimité (mais BOF !) s’abandonnent à des espèces « d’exactions de toutes natures », dont celles, du même type, que dénonce « l’Histoire » (dont celle parmi les plus contemporaines !!) au cours de ses périodes reconnues comme ayant été les plus sombres et qui ont impitoyablement conduits à la condamnation de milliers d’innocents (au vrai sens du terme) !
Tout ça pour dire que lorsqu’on se rend responsable de confier à de « vrais imbéciles ou de vrais GUIGNOLS », souvent très illettrés, et souvent, aussi très « gourmands », (mais il semblerait que l’un ne va pas sans l’autre) « les destinées » d’une « société humaine », fut elle minuscule en nombre, on se rend aussi responsables de tout ce qui pourrait en résulter, au préjudice du plus grand nombre mais sans doute pas au détriment de ceux qui sont là pour prendre, comme certains, semble t il, l’avaient déjà vivement préconisé en d’autres temps …
Bon que ça ne vous empêche pas de passer une bonne journée !!
BABAR
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