« La PASQUINADE » …. un mot féminin qui nous vient du seizième siècle … comme le dit le poète c’est un mot qui sent bon la lavande et … l’aïoli … ! Il puise ses origines dans la « COMMEDIA DELL’ARTE » : PASQUIN … un personnage très inculte, hautain et très prétentieux, très roublard, ou toujours à tenter de l’être, naturellement vantard et, par nature, très insolent … et bien entendu indigne de la confiance qu’il prétend être en droit de réclamer !! (pour un candidat prévaricateur et prêt à tout … « sauf » à être respectueux des valeurs morales les plus fondamentales … c’est fort de café)
Il arrive que dans notre quotidien nous en rencontrions certains qui, par-dessus le marché, s’appliquent à « jaspiner » sur tout et sur rien, « cancanent envieusement » en regrettant de ne pas être pris au sérieux du seul fait de leur état d’inculture absolue … et, pour les absoudre de leur « incommensurable connerie » ON veut bien dire d’eux (et de leurs compagnes lorsqu’elle sont assez cons pour l’être .. mais parfois on compatit plus qu’on ne blâme … vu l’état de décrépitude de l’ouvrage de soutènement ) qu’ils sont ce qu’ils sont mais sans méchanceté au moins une fois sur trois … tant pis pour ceux qui tombent sur les deux autres … !!
Par incidence des actes qu’elle inspire la PASQUINADE s’apparente à une espèce de bouffonnerie qui sert aux imbéciles de faire valoir lorsqu’ils ou qu’elles sont pris ou prises en défaut … ce qui est assez courant … voire constant … lorsqu’il s’agit des imbéciles les plus incultes qui feignent de savoir ce qu’ils ne savent pas ….
Bon on ne parle pas des « poufs » qui vont avec … ça n’en vaut vraiment pas la peine !
BABAR l’éléphant rose …. notamment !!
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