lundi 16 janvier 2012

Faudrait-il craindre le pire ?

Naturellement « le pire » serait que les cons parviennent à récupérer la charge de tout ce qui constitue l’essentiel de la gestion des affaires publiques et, par induction directe, de tout ce qui pourrait en dépendre …

D’ailleurs il ne vous aura pas échappé que lorsqu’un « certain individu » s’est déclaré ne pas être en poste pour perdre son temps … mais y être « pour prendre » il se dessinait déjà quelques prémices ou projections très significatives de ce à QUOI aurait pu ressembler la direction de nos affaires municipales si nous avions confié à cet individu et à ses amis l’entière responsabilité de leur conduite ….

Mais le plus étrange de tout ça c’est que, nonobstant le fait que tout le monde sait qui il est, de quoi il est très « incapable » et quels sont ses vrais centres d’intérêts les plus démoniaques (notamment ses intérêts financiers …. personnels) … « il » persiste et signe dans son pitoyable mauvais rôle de « moralisateur » !!!! (au fait parfois il semblerait que s’associe, avec une certaine allégresse et … autres expressions de mêmes intensités … une personne qui fut … en d’autres temps … et d’autres mœurs … sa pire « accusatrice » … au regard … entre autres … de ce qu’elle considérait comme étant … « déloyal » … (euphémisme pour ne pas alourdir le débat !!!)

Il faut croire que nous n’avons pas les même appréciations de comment il convient de se comporter lorsqu’on a la charge de conduire avec probité les responsabilités qui nous ont été démocratiquement confiées !!

Certains le font avec le souci de l’intérêt général d’autres le feraient dans …. « d’autres perspectives et ambitions » …. mais BOF !

Ce qui est désormais certain c’est que ces derniers et autres dernières paraissent particulièrement mal parti(e)s pour que le public qu’ils sollicitent avec autant de truisme et tant de simagrées soient …. très enclins à leur octroyer une totale (ou même partielle) confiance et à le leur démontrer en les …. plébiscitant … !!

Ou alors … ce serait donner raison aux « préséances » de la prévarication et de tout ce qui en dépend … sur tout le reste … !

MARIO

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