La « pécore » : au seizième siècle ce vocable désignait une femme assez stupide, plutôt « bien en chairs » mais parfois même beaucoup trop « enveloppée » et horriblement « mal dans ses chairs », très faussement « maniérée », exceptionnellement « très prétentieuse » et toujours totalement indigne de la confiance qu’elle sollicite, et mendie, en permanence pour toujours être en bonne position. Et ceci afin de pouvoir mieux exercer ses fourberies, duplicités, impostures et trahisons … Généralement très méprisante, souvent insolente, « la pérore » ne recule devant rien pour étaler son arrogante vanité !! … Par acception argotique, et au genre masculin, le « pérore » désigne un plouc, par condition et dans son état .. ! … D’ailleurs vous n’aurez pas manqué de constater que dans nos villes et villages, dont, peut être même, le notre, « les pérores » s’identifient par couple et ne parviennent jamais à dévoiler indépendamment leurs talents respectifs puisque ces derniers ne sauraient les exprimer que complémentairement … les déficits de l’un venant aggraver ceux de l’autre ! (c’est pour rire !!)
La « pecque » : au dix septième siècle la « pecque » est une femme physiquement assez grossièrement épaisse, généralement très vaniteuse et toujours en quête de quelques litiges à administrer de manière très inamicale et surtout très procédurière … On dit d’elle qu’elle est assez sotte et, par nature ou par déficit, très impertinente. Celles et ceux qui se sont très malencontreusement confronté(e)s à ses coutumes les plus habituelles conservent de « la pecque » le souvenir d’une femme très peu prometteuse (à tous égards !) et sans cesse à l’affut de quelques procédures à engager, souvent dans le but de seulement faire chier le monde ! Heureusement que tout le monde connait ses très ignominieuses appétences et se moque complètement de ce qu’elle pense et de ce qu’elle fait … ou de ce qu’elle ne fait pas .. !
N.B. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées serait, bien entendu, purement fortuite, même si vous avez la certitude d’avoir décelé de flagrantes analogies !!
DENIS
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