mardi 28 septembre 2010

Pourquoi pas ?

Un jour, il n’y a pas si longtemps que ça, un aimable et très honnête « troubadour » tenait à me rappeler qu’un certain « nouveau philosophe », fraichement épris de « navigations politiciennes en eaux salées » (enfin façon de dire pour dire !), se complaisait à avouer, à qui voulait bien l’entendre, mais aussi écouter, que, s’il advenait, un jour, d’être, enfin, ce qu’il convoitait d’être avec autant d’énergie, et aussi depuis si longtemps, il ne se gênerait certes pas de « prendre partout où il pourrait avoir l’occasion de le faire, sous la condition que « ça » soit en toute sécurité » !!

Sans jamais préciser ce qu’il pourrait s’agir de « prendre », tout le monde avait forcément bien compris que les « convoitises les plus folles » de cet « étrange énergumène » semblaient fonder et restreindre leurs mécanismes sur des échanges de procédés, très « en marge », bien sur, de ce que la « morale universelle » pourrait préconiser, mais qui lui aurait permis de bien nourrir, en les gavant à n’en plus pouvoir, les « ouailles » de son « poulailler » … vous voyez le genre de ces aimables ( ?) « Ouailles » !!!!

Bien entendu connaissant l’étrange moralité du « phénomène » en question, et la truculente qualité de fidèles « ouailles » dont il est question, aucun des témoins de ce « picaresque épisode » de notre petite histoire ne s’est pris à douter que ce fut là une plaisanterie de mauvais gout !!

Et puis les jours, les semaines, les mois, et enfin les années qu’ils constituent sans même se soucier des vieillissements prématurés des uns, des unes et des autres, passèrent par-dessus tout ça pour « ne laisser subsister que quelques poufs et leurs mentors très décatis », toutes, et tous, plein(e)s de cet « imbécile amertume » qui caractérise si parfaitement bien celles, et ceux, qui n’ont jamais eu d’autre ambition que celle dépendante de leur volonté de faire le mal pour le mal en prétendant que c’est pour le Bien … patati patata ….. !!

Mais il faut en convenir, les « pastèques électives », ou toutes autres pastèques d’ailleurs, parviennent parfois à remettre les choses à leur vrai niveau et faire « prendre conscience » (on ne parle que de ceux e de celles qui ont capacité en en avoir une, bien entendu) qu’il y a jamais rien à attendre de celles et de ceux qui sont atteint(e)s de cet ahurissant « syndrome » que désigne l’association de la connerie, de l’analphabétisme, de la méchanceté et de la trahison !!

Remarquez que si nous synthétisions tout ça par de la « simple incommensurable connerie » … ça suffirait !! NON ??

QUENTIN

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