dimanche 1 février 2009

A la claire fontaine … tra la la … … m’en allant promener … tra la la …

Et c’est pas pour dire de dire (comme dirait notre « Mado » nationale niçoise) mais « il n’y a que la vérité qui plaît et qui blesse… lorsqu ‘elle n’est pas avouable surtout » !

Mais forcément elle ne blesse que ceux aux dépends de qui elle s’exprime … en extasiant ceux qui en sont les auteurs, les annonceurs et les lecteurs.

Et nous « supputons » qu’elle dérange quelques uns (et quelques unes ??) de ceux (et de celles ??) qui se reconnaissent au travers des esquisses de saltimbanques que vous publiez !

Et très franchement je dois vous avouer que c’est un ravissement !

Je ne sais pas du tout si ceux qui font l’objet de vos sarcasmes (et quolibets très édifiants) sont ceux là mêmes (et avec celles là bien sur !!) qui me viennent à l’esprit, mais si ça n’est pas le cas les similitudes que j’y découvre sont assurément très spectaculaires !

A une certaine époque je me suis même demandé si certaines évocations d’un quelconque « Monsieur Dix Pour Cent » ne me rappelait pas très précisément quelqu’un qui venait d’être expulsé de quelque part pour avoir quelque peu participé à quelques unes de ces espèces de peu reluisantes acrobaties.

Des acrobaties et leurs voltiges qui sont habituellement répertoriées comme étant « les moins honorables en matière d’éthique ».

Que ces virtuosités se révèlent par des accomplissements comportementaux ou tout simplement par la très blâmable intention de les exécuter elles demeurent condamnables.

Car chacun s’accordera ici à reconnaître que « l’intention de faire le mal vaut l’action d’en faire ». … et que finalement « lorsque la seule intention rapporte déjà dix pour cent des reconnaissances.. totales» … ou de quoi, que ce soit … c’est vachement bien payé !!

Et je pense aussi que cette vérité vaut pour toutes les civilisations, depuis la nuit des temps, et par voie de subséquence directe, pour toutes les cultures et les coutumes qui s’y sont subordonnées.

Sauf que parfois « dix pour cent ça ne suffit pas » … dépendant de la qualité et du service rendu et de celle ou de celui qui le rend et de celle ou de celui à qui il est rendu.. !!

Et puis je crois que « vu l’insignifiance de ceux (et celles ??) des personnages » qui s’abandonnent à des futilités qui constituent le seul exutoire à leurs incompétences…. plus personne ne s’est en définitive préoccupé « de savoir ce qu’il advenait de leurs affaires politico personnelles… peu importe.. ».

Mais bien entendu lorsqu’on dit que ça n’a pas d’importance tout le monde aura bien compris que ça dépend pour qui et pour quoi !

Car, selon ce que je crois avoir compris, vu de l’extérieur, c’est que la plupart de ceux (et celles ??) qui espérait pouvoir profiter « des potentialités dont il prétendait contrôler les occurrences », se sont rendus (et rendues ??) à des évidences plus décevantes mais plus conformes à ce que les exigences que la morale universelle tente de nous enseigner.

Ce qui, néanmoins, peut paraître étonnant c’est de devoir constater que, nonobstant les railleries qu’on oppose systématiquement à des commentaires qui empruntent à « la Débilité » ce que l’idiot emprunte à « l’Imbécillité », « ceux (et celles ??) qui en sont les vrais destinataires réitèrent leurs insanités.. et bien d’autres choses encore… sans renâcler ».

« Ni même s’offusquer » de ce qu’on puisse relever celles de leurs caractéristiques qui garantissent l’authenticité (et la pérennité ?), d’une empreinte dont ils (et elles ??) devraient cependant tellement regretter d’être assortis (et assorties ??) !

Nous sommes subséquemment en devoir de nous demander si c’est par mépris ou par incompréhension qu’ils (et elles ?) acceptent d’être ainsi appréhendés (et appréhendées ??).

Naturellement nous n’en serons jamais tout à fait certains mais, tenant compte de ce qui déjà été dit au regard des déficits spirituels (pour éviter que les culturels ne viennent alourdir les colonnes passives du bilan) « on aurait tendance à écarter le mépris comme pouvant être une des causes incidentes à l’asthénie et l’amorphisme constatés ».

Mais en ce dimanche matin j’invite mes amis et amies à exprimer davantage d’indulgence et à appliquer « les principes de tolérance que nous enseignent nos pasteurs et autres bergers ou gardiens du temple », quelles que puissent être les obédiences, religieuses ou pas, desquelles ils prétendent participer.

Et que cela ne nous empêche surtout pas de chasser de nos temples, ou autres édifices, ou autres communautés, « toutes celles et tous ceux qui se réjouissent du malheur des autres dès lors que sa survenance sert leurs convoitises… et entre nous quelles convoitises !! ».

Ce sont celles là les attitudes les plus méprisables !

Fort heureusement elles ne sont jamais suivies des abominables effets escomptés par ceux (et celles ??) qui menacent toujours de libérer leurs haines par la mise en œuvre de rituels dont ils semblent toujours vouloir prétendre qu’ils leur sont familiers !

Mais sont ce ces rituels que la morale des morales exècre parfois et par définition ?

Alexandre (l’autre)

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