vendredi 2 juillet 2010

La vertu du vice …

La lecture de quelques récentes chroniques, publiées par de notables quotidiens a naturellement attisé ma curiosité et sollicité ma réflexion.

En effet dans ses fonds et formes, cette étonnante parution s’appliquait à banaliser quelques uns des abus les plus fréquents, dont ceux, notamment, perpétrés par des « acteurs politico économiques » de qui nous devrions être en droit d’attendre davantage d’exemplarité.

L’interrogation rémanente, et la philosophie de laquelle elle s’inspire, s’articule autour du besoin de savoir si le « don de soi », en faveur de l’intérêt collectif, est toujours bien compris par celles et ceux qui prétendent pouvoir « mieux »mettre cette charité en pratique !!

A vrai dire, et selon, les occurrences dont nous avons déjà eu à gérer les perversités, à La Trinité, tout se passe comme si les prétendants à la « Vertu » s’exécutent lorsque « ça » n’exige pas de sacrifice personnel, et, surtout, lorsque « ça » peut toujours servir leurs quêtes de notoriété !!

Pour leur part les abonnés aux exigences dont le « Vice » inspire la plupart des états sont d’étranges individus !

Étranges du fait de ces espèces de lamentables affichages qu’ils s’appliquent à ordonnancer avec le soin de l’écolier et dont l’extrême affligeante pauvreté des formes, mai aussi le poignant dénuement des fonds, devraient les contraindre au silence absolu !

C’est toujours avec impatience (certes non dissimulée) que nous attendons les publications de quelques uns, et aussi de quelques unes, de ces personnages les plus loufoques car ils, et elles, concourent à souvent nous offrir l’opportunité d’éditer de pertinentes et amusantes répliques !

Quelqu’un m’a dit un jour qu’il valait mieux s’abstenir d’écrire plutôt que de mal le faire !

En effet, disait ce grand sage, l’analyse des erreurs, et des fautes, que les imbéciles les plus illettrés parviennent à perpétrer (et parfois à perpétuer), sans même jamais se rendre compte de leurs impécuniosités, montrent que dans les cas les plus désespérés …. Il vaut mieux ne rien tenter qui soit susceptible d’éveiller trop brutalement les consciences les plus fragiles !

En revanche, et à l’égard de celles et de ceux dont on soupçonne qu’ils, et qu’elles, n’ont, apparemment, aucune conscience … il conviendra de faire « sur commande » !

Bon vent !!

MARC

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