mardi 23 novembre 2010

L’accélérateur rural …

Puisqu’il nous faudra désormais « introduire » au sein de nos réflexions, et des perspectives qu’elles sont supposées impulser (ou prospectives mais ça c’est une autre histoire) la notion « d’accélérateur » soyons alors plus contemporains que quelques uns (et « quelques unes » pour « surtout » ne jamais les oublier !!) des donneurs (et donneuses) de leçons (en tous genres) !

En réalité on connaissait déjà les « principes d’application », chimiques ou naturels, pour que les « détritus » d’origines végétales, notamment, toutes tailles et « épaisseurs » confondues (en tout bien tout honneur) se transmutent en « fumier » !

On ignorait (mais peut on tout savoir ?) que les « fumiers » qui résultent habituellement des fermentations de quelques « carboneux végétatifs » (toutes structures moléculaires confondues) seraient éventuellement susceptibles d’accélérer « les processus » des mises en œuvre de nos structures urbaines selon des principes très similaires à ceux dont dépend la prolifération des plantes après les avoir aspergées de quelques uns des plus … « succulents fumiers » !

En réalité n’est pas « fumier » qui veut (on parle des « végétaux », mais, parfois, aussi des « végétatifs »sans oublier, néanmoins, que, les « végétatives » ne sont là que pour faire le « nombre » et « combler les vides», quelquefois, d’ailleurs, des « vides » aussi « vastes » qu’elles sont elles mêmes grotesquement assez « musclées », pour rester dans le ton d’une magistrature décente) … on disait donc que « n’est pas fumier qui veut » et pour que les missions que s’assignent les « végétaux » dont les « assemblages » parviennent à constituer les meilleures qualités de fumiers ou accélérateurs similaires … il faut que chacune des parties constituantes soient dotées d’une potentiel de « pourrissement » assez élevé … !!

Il est vrai que la « pourriture » que constituent les « meilleurs fumiers », parmi les plus disgracieux, ne se trouve pas si facilement, même sous les sabots d’un cheval, fusse t il un excellent « producteur de merdes » sous de multiples « appellations contrôlées » !!

Tout ça pour dire, s’il en était encore besoin, que, même les plus « exercés » (et « exercées » ! ne les oublions jamais !!) en matière de production de « matières » (pour ne pas toujours parler de « merdes ») peuvent, parfois, produire de « mauvaises merdes », inaptes aux fonctions auxquelles leurs géniteurs (et génitrices bien sur !!!!) pensaient pouvoir les assigner !!

Quelle merde les gars …. Quelle merde !!

Le merdeux de service ce matin !!

Aucun commentaire: