Depuis quelques semaines je me suis contrainte à visiter plus intensément sur le net et c’est très évidemment votre site que je parcours le plus volontiers.
Et je dois bien l’admettre avec une certaine délectation.
Au début je ne savais pas trop de quelles personnalités il était le plus souvent question, en dehors bien sur, de celles qui dépendent des idéologies et formations communistes, ou associées, que tout le monde aura bien repérées, ça va de soi.
Et ensuite tous mes amis m’ont rapidement renseignée sur les autres de vos prospects.
Et plus précisément sur « qui était qui » et « qui faisait quoi » et « qui avait fait quoi » et « qui avait trahi qui » et « qui avait rejoint qui » et ainsi de suite jusqu’à plus soif.
Et puis au final je me suis rendue compte que tout ce beau monde ne valait pas grand-chose. Ceci d’ailleurs, un peu conformément à l’idée que je m’étais déjà faite d’eux au moment de leurs misérables, dévalorisantes et ridicules tentatives politiques.
Et, conséquemment, que les personnages qui semblaient revenir le plus couramment sur le tapis de votre site ne valaient certainement pas le coût du temps passé à tenter de décrypter les raisons qui présidèrent à leurs piteux essais de déstabilisation. Si on peut appeler ça de la déstabilisation.
Ce qui, à l’époque, a bien entendu fortement frappé mon imagination (jusque là un peu naïve) c’est d’avoir eu à constater que les dirigeants d’une liste adverse s’était permis (mais, parait il, on sait par « quelle » misérable intermédiaire la chose fut possible) d’adresser dans un village de quelques dizaines d’habitants, à plus de mille kilomètres d’ici, des tracts infâmants sur la conjointe d’un candidat.
Alors que par-dessus le marché la personne ayant fait l’objet de cette lamentable initiative, originaire de ce village, n’est même pas inscrite sur les listes électorales de la commune.
Heureusement les présomptions sur le ou « la » responsable de ces agissements odieux se sont confirmées par des rumeurs qui ne laissent, semble t il, subsister aucun doute sur l’identité de la personne dont on ne peut que regretter qu’elle ait été si déplorablement vulgaire et déloyale.
Mais il est vrai que ce qui m’interpelle toujours c’est de ne pas savoir pourquoi, parfois, les ignorants, au sens le plus accompli et le plus achevé, s’imaginent qu’ils sont en définitive beaucoup moins ignorants qu’ils ne l’avaient eux-mêmes si pitoyablement confessé, en public et sans la moindre ambiguïté.
Et ceci en des temps plus lointains mais tout de même pas assez pour qu’un recul soit à la fois nécessaire mais aussi suffisant pour combler les colossales et impitoyables lacunes culturelles qu’ils s’imputaient, sans emphase, mais avec amertume et regret. Ce qu’en l’état du désagrément que ça ne manque pas de procurer aux indigents, en les affectant beaucoup, peut se concevoir sans difficulté.
Et sans doute pouvons nous compléter utilement en affirmant sans risque de démenti que tout le monde est parfaitement au courant et que tout le monde s’en moque, comme il se doit en la circonstance.
Et sans doute même ceux des zouaves (à l’exception de ceux dont on ne parlera pas parce que ça n’en vaut réellement pas la peine) les plus rapprochés, s’il en est encore, et on ne manque pas de se le demander, ne seront pas sérieusement disposés à venir plaider, en défense, l’indéfendable.
Enfin heureusement qu’au seuil de cette année et aire, nouvelles, et conformément à ce qu’affirmait l’un de vos correspondants, les dimensions au sein desquelles nous serons désormais contraints d’évoluer, feront que les marginaux d’aujourd’hui seront de plus en plus marginalisés avant de « disparaître ».
Et par voie de conséquence il parait évident d’ajouter aussi que leurs fantasmes et les projets personnels ou collectifs qui en dépendent seront de la même définitive manière voués aux gémonies.
Mais vous n’ignorez toutefois pas qu’il arrive parfois que le Phénix renaisse de ses propres cendres et qu’il est toujours périlleux de croire, ou de laisser croire, que le Danger disparaît avec sa première disparition car il a vocation de ne jamais disparaître tout à fait.
Quoiqu’il ne s’agisse pas ici, à La Trinité, et quelque puisse être les personnes qu’on aurait tendance à comparer au Phénix mythique, d’autre chose que de « semblants de Phénix », très pâles tentatives de plagiat par ailleurs pas très fidèlement décalquées, et ceci par totale et endémique méconnaissance.
A ce propos d’ailleurs merci de ne pas confondre ce Phénix (en latin Phoenix) avec « Phénix » qui était le fils d’Agénor qui donna son nom à la Phénicie ou même avec « Phoenix » qui se distingua auprès d’Achille au siège de Troie… passons..
Bon c’est dimanche et on ne va pas se prendre la tête. Sauf que cet aprèm si mes souvenirs sont exacts le député Rudy Salles (vous savez celui que certains n’ont pas manqué de tenter de rejoindre avant de tenter de le trahir.. comme DAB .. !!) fait ses vœux et qu’on a envie d’y aller.
Ce qui serait surprenant c’est d’y voir notre « couple d’enfer » débouler sur les gâteaux et champagnes.
Contre toute attente bien sur mais comme ils doivent être en manque ! on ne sait jamais !
Anathème Julien
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