samedi 17 janvier 2009

Lettre ouverte à Bernard !

Salut mec .. je sais pas qui tu es mais tu as de la suite dans les idées et ton texte nous a bien fait rigoler. Mais il faut dire aussi que ta symbolique n’est pas décodable par n’importe qui.

En tout cas surtout pas si celui qui projette de le faire estime aussi être au centre de quelque chose.

Mais c’est vrai qu’il ne faut jamais présumer de ce que les nombrilistes les plus mentalement fragiles, c'est-à-dire les plus abrutis, sont capables d’imaginer et sur quelles perspectives ils exercent leurs lamentables fantasmes. Surtout si en plus ils sont cons par nature et incultes par condition.

Pour les quelques amis et proches que nous sommes (et pourtant nous n’étions pas nécessairement des fans de l’équipe de ceux dont nous supputons l’identité et qui sont tes propres amis) ce pénible décodage, même s’il ne facilite pas les plus réfractaires à ce type d’entreprise, ne nous décourage pas.

Et peut être même devrions nous ajouter que quelque part ça nous excite et ça nous stimule.

D’autant plus d’ailleurs que nous sommes assez nombreux à supputer de qui tu ridiculises les états, conditions et toutes celles des rocambolesques et très pitoyables conduites qui en dépendent.

Et tu sais bien que je fonde ce constat sur une multitude de réflexions et confidences dont les pertinences et les exactitudes ne laissent subsister aucun doute sur l’origine de leurs révélations.

On ne peut d’ailleurs pas s’empêcher de constater que le compteur du site sur lequel nous intervenons aujourd’hui, sous la condition qu’il ne fasse pas l’objet de quelques manipulations comme c’est le cas pour d’autres, dénombre une moyenne journalière et arithmétique de 85 visiteurs (en fin de journée).

Une moyenne qu’il convient d’assortir un d’un taux de pénétration selon l’application d’un cœfficient minimum de 2,7 à 5,8 (c’est dans « Playboy » du mois de septembre) ça fait un total qui se situerait entre 229, 50 (arrondi à 230) et 493 personnes touchées par jour ouvrable. Ou pas ouvrable.

C’est toujours bien mieux qu’un coup de pied au cul et ça fait son chemin. L’objectif consistant surtout à dénoncer la connerie prise dans son acception et portée la plus exhaustive afin qu’elle ne nuise pas.

Bon et par-dessus tout il faut dire que tes histoires de centres et des cercles qui sont autour exigent un effort d’imagination pour bien comprendre que tout ça s’inscrit dans des études analogiques et d’interdépendances entre le macrocosmique, le microcosmique et l’inéluctable bêtise.

T’as raison de dire que la chance de remarquer un con est inversement proportionnelle à l’importance de l’espace au sein duquel il évolue et au sein duquel tu le croises. En gros ça veut dire que si t’es face à face avec un con dans un salon de dix mètres carrés t’auras pas le choix et que ça te plaise ou pas tu te le farciras jusqu’à plus soif. L’importance des espaces de la CU nous libère au moins de ça.

Et crois en mon expérience même que dix minutes passées avec un vrai con dans une pièce de dix mètres carrés c’est un supplice d’une minute de trop par mètre.

Le con ne dispose d’ailleurs déjà d’aucune capacité à se distinguer autrement que par ces espèces de minables intrigues qu’il ne cesse de mettre en scène et dont le scénario qui les caractérise n’inspire aucun autre sentiment intelligible et tolérant que celui dépendant de la simple compassion.

Un peu comme celle qu’on destine généralement à des individus que l’inconvenance des circonstances auraient privés du Savoir. Et, entre autres, pour l’essentiel, du savoir être et du savoir vivre.

Mais il est vrai que certains de ceux qui en sont le plus dépourvus sont toujours préparés à reconnaître, et cela le plus officiellement possible, que ces inconvenances sont sans doute et très inopportunément la cause de leurs défaillances, dont celles qui se concluent inévitablement par de récurrentes déloyautés. Mais ça généralement ils préfèrent le taire. Sans doute pour mieux le perpétuer.


Maxime

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