lundi 19 janvier 2009

Dis-moi vite qui sont tes gourous de référence … … et .. à défaut de te dire qui tu es .. … je saurai au moins si tu es fréquentable ou pas !!

Il est vrai qu’on a tellement pris l’habitude d’associer certains de ces étonnants fidèles à cette « nouvelle race de gourous érudits » qu’on ne sait plus du tout quoi dépend de qui et pourquoi.

Quoique dans la plupart des cas « le pourquoi est superfétatoire » puisque d’une manière générale on sait que la décision, et naturellement l’aptitude, mises en perspectives en vue d’adhérer à des dogmes bricolés à la hâte et sans talent participent essentiellement, et en priorité, « d’une condition et de deux volontés ».

On ne s’étendra pas inutilement sur les caractéristiques particulières de la condition qui est nécessaire (mais pas nécessairement suffisante) pour s’inféoder aux exigences d’une espèce de secte, plus intrigante qu’intelligible, et dont tout le monde sait, désormais, que les principes fondent leur légitimité sur « l’ignorance » prise en son sens le plus consommé.

En revanche on pourra plus utilement développer une réflexion sur les deux volontés, qui, ensemble ou séparément, constituent l’ingrédient indispensable à l’accomplissement du parfait état de dépendance à un ou plusieurs « gourous », qu’ils soient ou non accompagnés de leurs « incontrôlables compagnes des jours heureux ». Enfin.. plutôt que d’être mal accompagné il vaut mieux .. etc etc etc .. !!

Et bien entendu à l’adresse de ces beaux « assortiments » nous souhaitons la plus longue vie possible.

Tout en étant cependant « convaincus » (et non pas persuadés) que la durée de vie moyenne d’une association dont les éléments constitutifs ont manifestement une très désagréable tendance à trahir selon les opportunités qui occurrent (au fil des jours) ne va jamais « au-delà d’un certain temps » (on demande à personne d’autre que ceux qui se sentent concernés de comprendre ou d’agréer !!).

Enfin comme on l’a déjà dit et écrit et redit et ré écrit « qui s’assemblent se ressemblent » et à observer celles et ceux qui se sont rassemblés en certaines des circonstances dont personne n’oubliera « la tonalité folklorique et chimérique » (et c’est rien de le dire il faut l’avoir vécu !), cette merveilleuse citation prend tout son sens. Et on est très contents qu’avec ces « aréopages » il en soit plutôt ainsi.

Ce qui aurait pu paraître étonnant, « mais cela bien avant qu’on sache qui et quoi », c’est de voir quelques unes de ces soi disant honorables vieilles familles trinitaires, habituellement respectées pour leur sagesse et leur discrétion, « cautionner des expressions de haine » (jusqu’à mille kilomètres d’ici), alors que « rien ne semblait les prédisposer à accepter d’être les complices de si déplorables actions » sans jamais même avoir tenté de se dédouaner s’ils, ou elles, estimaient devoir le faire au simple motif de ne jamais y avoir été mêlé(e)s de quel que manière que ce soit.

De toutes façons il n’y a pas à en douter ces actes ont sans doute contribué à lever le voile sur les véritables personnalités, et accessoirement les capacités, visions et projets spirituels, de celles et de ceux qui en furent les responsables directes ou indirects.

On en arrive même à se demander s’il est bien utile de se contraindre à tenter de faire bonne figure en « certains des lieux de culte » (c'est-à-dire ceux qui permettent d’afficher une foi dont on parvient malheureusement trop souvent à se demander si, elle aussi, est totalement factice !) alors qu’en son âme et conscience (enfin façon de parler ici encore) on a soutenu des actes aussi misérables que ceux qui se sont notamment traduits par de sordides distributions de tracts diffamants, et sans raison.

Et ceci vers de très lointaines destinations qui, nous a-t-on dit, n’avaient rien à voir avec nos petites tracasseries trinitaires ! Faut-il être très con !! ..

Mais que peut on y faire lorsque les individus pensent pouvoir remporter des batailles électorales en affichant de telles imbécillités … il n’y a plus qu’à attendre. Et c’est d’ailleurs c’est ce que nous faisons.

Etienne

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