Eh les gars, il ne faut surtout pas vous en faire, les histoires d’ânes qui volent … comme à Gonfaron… on connait … et on sait que ça ne fonctionne pas toujours très bien !!
La plupart de ceux qui y croient sont de misérables sbires qui se prennent un peu trop la tête.
Mais qui plus est … ils disent y croire, toujours en blêmissant, et avec une telle disgracieuse obstination que ça en devient pathétique !
Peut être d’ailleurs que ces mêmes spadassins auraient avantage à s’infliger un objectif « état des lieux » pour faire le point de ce que contient, ou ne contient pas, ce qui leur sert très épisodiquement de cerveau, ou similaire.
Remarquez qu’on aura beau dire de dire pour dire de faire gaffe il y aura toujours des « T du C » qui se convaincront que s’ils pensaient avec la tête de quelqu’un d‘autre ils parviendront au moins à avoir l’air moins … « T du C » !
Mais entre nous ça reste à prouver car c’est quasiment impossible d’être … « ce à quoi on pense » …ou même un simple « T du C » et de s’appliquer à faire croire qu’on ne l’est pas !
Il faut admettre qu’après avoir tant capitalisé dans l’art d’être un vrai « T du C » (ou à être ce à quoi on pense) , ça doit faire mal au « cœur » (au cœur notamment !) de ne passer, entre autres, que pour la moitié, ou le tiers d’un âne !? C’est ce qu’il est généralement convenu de définir comme étant un mauvais … très « très » mauvais retour sur investissement !!
Remarquez que parfois il y a des individus qui sont tels que « ce qu’on a toujours prétendu qu’ils étaient » et d’autres qui se révèlent « encore beaucoup plus méprisables que ce qu’on présumait qu’ils pouvaient être …. » !!!
Enfin c’est vrai que lorsqu’on est ce qu’on est mais qu’on ne voudrait pas trop que ça se sache et aussi qu’on souhaiterait pouvoir s’attribuer autre une image, la seule chose à ne jamais faire, pour combler ce souhait, c’est de se la péter le plus haut, et le plus bruyamment qu’on a capacité à y parvenir …!!!
Car, soyons en convaincus (et convaincues) que celles et ceux qui se la pètent plus haut qu’ils ou qu’elles ne devraient, passent toujours, soit pour des « T du C » , dans le meilleurs des cas, soit pour des « demeurés », et dans des cas plus extrêmes et proches de la désespérance !!!
Mais il est aussi vrai de dire que parfois, voire fréquemment, les « T du C » parviennent à si bien se satisfaire entre eux (et elles) qu’ils n’ont même pas conscience d’être ce qu’ils sont.
Dédé de Strasbourg
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