lundi 18 août 2008

Le Lundi C'est permis....Rions !!!!!

Histoire des nymphes inspiratrices

A La trinité comme partout ailleurs les nymphes devraient servir l’inspiration des poètes et autres troubadours.
Comme l’a déjà fait remarquer l’un de vos correspondants elles sont généralement représentées en beauté et très légèrement vêtues.En tout cas c’est de cette manière qu’elles apparaissent dans l’imaginaire des gens.Et certainement pas ou jamais autrement !
Et sans vexer qui que ce soit les correspondances auxquelles on pense, par réflexe conditionné, ou pas, n’entrent assurément pas dans le registre de cet imaginaire.
Par conséquent on ne sait pas si, à La Trinité, les quelques deux, ou peut être trois (?), égéries qui se sont si violemment consacrées à faire de la politique pourraient avoir droit au titre de nymphe.
Beaucoup de personnes interrogées ont spontanément répondu que NON.
Par ailleurs et puisqu’on qualifie d’éclectique certaines des hordes qu’on souhaite assortir de cette définition je souhaiterais tout de même rappeler que, issu d’un verbe grec qui signifie choisir (eklegein), ce vocable, tel que nous en faisons l’usage courant, contient un sens plus péjoratif qu’il ne le mérite, ou qu’il ne devrait.

En effet et pour votre information (ça ne fait pas de mal de tenter de voler un peu plus haut parfois), l’éclectisme fut d’abord le nom qu’on donna à une école philosophique du dix neuvième siècle, fondée par un certain Victor Cousin.
Cette école considéra que l’éclectisme, dans ses applications, regroupait les aspects les plus positifs et résultants d’une conjugaison de quatre des conformations fondamentales qui constituent la base de tous les systèmes de la pensée universelle.
Ces formes, configurations, disciplines, ou attitudes, sont identifiées selon des comportements extraits du scepticisme, de l’idéalisme, du sensualisme et du mysticisme.

Alors lorsqu’il est fait une vague allusion au caractère éclectique d’un groupe qui n’a fourni aucun témoignage au regard d’une quelconque cohérence monolithique, on ne devrait retenir, en complément à sa signification péjorative, que les côtés négatifs de ces quatre formes doctrinales fondamentales.

Pour la forme !!!!Et non pas les côtés positifs comme le suggèrerait l’application stricto sensu une attitude éclectique.

A méditer et à suivre !

Georges

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