jeudi 8 avril 2010

Le Gourou ,La pie et tutti Quanti ....

Le Gourou : Attention les grosses j’ai plus d’un tour dans mon sac ! Vous ne devriez pas me sous estimer comme vous le faites ! Ou alors vous vous en mordrez les doigts de pieds ! Et le reste !

L’épiphyte : Voila que tu recommences à te prendre la tête, Gourou de mes deux ! Tu sais bien que ça ne te réussit pas de te la prendre comme ça ! Tu sais bien que c’est un peu comme le mal de mer ! Quand tu n’as rien ingurgité avant d’embarquer sur le bateau, et que ton estomac est un peu trop vide de chez Vide … tu as la « gerbe » jusqu’au bord des lèvres ! Pour les maux de tronche c’est pareil ! Pour ne pas avoir des vertiges à la con il faut d’abord s’appliquer à y mettre quelque chose dedans ! T’as compris mon brave ?

La pie : Oui mon brave et gentil Gourou, elle a raison cette arapède de merde ! Elle a mille et mille fois raison ! Je crois qu’il est temps que tu te mettes à t’instruire un peu ! Tu ne peux certes pas continuer à dire à qui veut bien l’entendre que si tu es aussi analphabète, et tellement inculte, c’est parce que on ne t’as jamais envoyé à l’école, et, que de ce seul fait, si tu es aussi nul ça n’est pas vraiment de ta faute ! A ton âge mon brave con ça n’est plus très crédible ! Même plus crédible du tout !

La voltairienne : Moi je dirais que notre Gourou n’a pas sensément dit son denier mot ! Ni même, sensément ou pas, le premier mot d’ailleurs ! Et cela même s’il se complait bêtement à des assemblages de termes et sentences dont il ne semble évidemment pas comprendre la véritable signifiance! Il réitère sans répit des « espèces » de très pitoyables affreux borborygmes qui n’ont aucun sens, ni, surtout, aucune intelligibilité, mais grâce, auxquelles « espèces », il a le vague, et confus sentiment de pouvoir passer (enfin !) pour un très grand et savant érudit auprès de sa fiancée préférée … et de quelques autres pantins sans beaucoup d’autre saveur que celle que procure l’herbe non assaisonnée !

Le Gourou : Mais dites moi « les grosses », si il y en a « UN » ici qui peut se permettre de juger et d’appliquer les sanctions appropriées, c’est MOI et MOI seul ! Enfin vous savez bien que si vous m’avez désigné comme étant votre Gourou c’est qu’à vos yeux, sans doute, je disposais de l’essentiel des vices qui devaient permettre la mise en œuvre de vos prévarications et autres pratiques de même genre, ou pire ! La grosse pie n’a plus trop son mot à dire ! On lui demande de se contenter d’être et de rester « ce » qu’on sait, à quoi elle sera désormais définitivement assignée, et à qui on doit, pour grande partie, d’être ce qu’on est ! Eh oui elle a été notre cheval de « Trois » !! Non ?

L’épiphyte : Cheval de Troie ! Faux épicurien de l’ombre humide ! Décidément on se demande ce que cette brave vieille égérie de mes deux, ou trois d’ailleurs, a bien pu te trouver pour qu’elle se décide à trahir tous ses meilleurs vieux compagnons, et compagnonnes, de route pour te préférer à elles, et à eux ! On se pose la question de savoir à quel moment vous conviendrez mutuellement et réciproquement de vous trahir ! En principe, et selon ce qu’on présume, ça ne saurait tarder ! Mais avec ces spécimens on ne sait jamais ! Et ça pourrait bien durer encore un peu, le temps de quelques autres pastèques électorales !

La pie : Bon si je peux dire quelque chose ……

L’épiphyte : Toi la pouf on te demande de te taire ! D’ailleurs on se demande vraiment si on ne va pas finir par te virer !

Les « Xaviers » .. et leurs chansons matinales !!

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