mercredi 24 février 2010

Dédé et Annabelledialogues sans lendemain(s) !! sans aucun lien avec des personnes existantes ou ayant existées et toutes ressemblances.. etc etc etc … !!

Dédé : Dis moi, Annabelle, ma très subliminale et très « très chère » amie, j’espère, pour ta santé morale, et toutes autres, que tu ne te laisses tout de même pas impressionner par toutes les conneries qui, selon toutes (les) vraisemblances, et leurs contraires, te sont plus ou moins directement adressées au titre de tes sensibilités politico-affectives ?

Annabelle : Mais dis moi, pauvre moule de mes deux très (grosses) fesses (?) tu ne crois quand même pas qu’en ayant fait ce que j’ai fait, et en l’ayant fait comme je l’ai fait, et, par dessous tout, avec « qui » je l’ai fait (et ça c’est pas rien), et aussi contre qui, je ne vais pas me mettre à trembler ! Pour moi le plus gros est fait et je ne reviendrai pas dessus ! Une fois que c’est fait, c’est fait, point barre ! D’ailleurs je suis bien consciente que j’avais là ma toute dernière chance de pouvoir trahir les miens, et même tous les autres ! Je ne reviendrai jamais dessus car je ne peux tout de même pas passer ma chienne de vie à faire des allers retours en contrariant chaque fois ma vraie nature ! A chacun sa destinée et il faut je j’assume la mienne ! Il faut que je l’assume !!

Dédé : Je comprends bien mais tu devrais peut être ne pas te laisser abrutir comme ça ! C’est vrai que c’est pas trop bon pour ce que tu veux faire en politique ! Pas trop bon du tout d’ailleurs ! Et pour le moral c’est pire ! Quoique je dois reconnaître que depuis tes escapades et changements de partenaires associés (politiques) ton moral (et ce qui va avec) se porte bien mieux ! Tu vois c’est comme les veaux le changement d’herbage ça les réjouit toujours ! (cela dit sans offense)…

Annabelle : Et ça mon gentil con c’est à moi, et à moi seule, de juger, d’apprécier et de condamner ou de ne pas condamner ! Et toi tu ne fais pas le poids ! Pas du tout ! D’ailleurs il faut que je te dise que pour accepter de s’associer avec des cons et, en plus de devoir supporter leurs invraisemblables conneries, et surtout devoir supporter les inimaginables prétentions alors que tout le monde sait qu’ils sont totalement incultes, ben il faut avoir un « sacré moral » !

Dédé : Oui mais on sait que le « moral » dont tu parles est exclusivement secrété par la « haine » ! Et de ce côté il paraîtrait que tu as tours été, et que tu demeures, encore aujourd’hui, la championne des championnes ! D’ailleurs ce qui est étonnant c’est que ta « haine » ne sert même pas à faire monter tes gourous chéris dans les sondages ! En effet tout se passe comme si les notoriétés respectives de tes gentils guignols préférés sont très inversement proportionnelles à la fréquence de tes interventions et à l’intensité des tes présences sur le terrain à leurs côtés ! Enfin quand je dis à leurs côtés ça veut dire « sur leurs arrières » … bien entendu !

Annabelle : Mais mon pauvre ami tu ne comprends pas que ce que nous faisons là c’est de la « haute stratégie politique » ! Toi tu n’es pas à la hauteur pour bien comprendre ! Tu ne penses tout de même pas qu’on se laisse duper par cette espèce de gros abruti auquel tu fais toujours référence et dont, désormais, personne ne saurait ignorer qui il est ! Ou plutôt même qui il n’est pas ! Tu vois on se moque toujours de ce que tu dis, mais ici, en l’occurrence, ce qui nous a réellement indisposées c’est de supposer qu’ « on » puisse croire qu’on est derrière cette énorme « nullité » ! Ce que je fais je le fais pour moi ! Même si ça te parait invraisemblable !!

Dédé : Mais ma belle (??) amie, si tu ne souhaitais pas être associée à ce que tu as l’air (et la chanson) de considérer comme étant de vrais cons de chez Con il ne fallait pas que tu t’affiches de manière si ostentatoire à leurs côtés ! Ou même pas derrière eux ! Je crois qu’en ces circonstances tu t’es laissée influencer, avec quelques autres, par les côtés les plus obscurs (très obscurs mais très ??) de ta personnalité !

Annabelle : Oui mais c’est la dernière fois !

Dédé : Forcément que « ça » a été ta dernière chance et la dernière fois ! tu croyais quoi d’autre ?

LES GRENOUILLES ASSOCIÉES …..

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