samedi 20 février 2010

En politique il y a des mecs qui n’ont décidément pas de pot !

Notamment, « il y en a » quelques uns, et quelques unes (faudrait quand même pas les oublier celles là !!), qui ont désespérément attendu que le bon moment, celui au cours duquel ils seraient un tout petit peu plus politiquement considérés et considérées se manifeste, enfin, et qui, du fait de l’imprévisible apparition d’un « Zorro » au regard languissant (et manifestement assoiffé de justice comme Bronson dans la super film « il était une fois dans l’Ouest ») se font souffler la vedette !

Et ça littéralement sous leurs barbes et autres « moustaches » !

Bon mais c’est la vie les gars ! Faut pas vous en faire ! Vos heures de gloire vous les avez eues en faisant ce que vous avez fait et, tout le monde le sait bien, vous n’auriez sans doute pas pu faire mieux pour accroître votre notoriété !

Et, d’ailleurs, la très mauvaise réputation à laquelle on assigne généralement les traitres, et parfois aussi, c’est plus exceptionnel mais ça arrive, les traitresses, participe d’une injustice dont il conviendrait de dénoncer les horribles perversités !

D’abord n’est pas traitre ou traitresse qui veut ! Et déjà à cet endroit, et à cet égard, il faut rappeler que pour servir dans cette honorable discipline, une discipline qui impose sans appel ses principes et ses règles, les impétrants (pas les « francs macs »… certains d’entre eux sont déjà en possession du passeport pour sauter les obstacles … de la vie) les impétrants, donc, sont soumis à des exercices, qui, nonobstant leurs caractéristiques apparemment très anodines, n’en demeurent pas moins de véritables épreuves !

La plus sérieuse de ces épreuves visant à savoir si celles et ceux qui sollicitent une labellisation en bonne et due forme de l’appellation de « traitre » et « traitresse » (un peu comme les appellations contrôlées) sont réellement fondés, et fondées, à être intronisé(e)s à ce titre et sous le regard bienveillant de leurs maîtres et maîtresses, grands architectes dans l’art de la traitrise organisée !

En général le droit à cette très vénérable appellation ne saurait être revendiqué que postérieurement à des tentatives, naturellement assorties de réussites patentes, d’actes que la morale universelle réprouverait, bien entendu, mais qui constituent le vrai ciment des confréries de traitres et de traitresses, toutes origines et nationalités confondues !

En général aussi, et surtout pour ne pas perdre le total contrôle de leurs ouailles, disciples et autres fidèles, les grands architectes responsables des recrutements de nouveaux traitres, et traitresses, préalablement à l’intronisation définitive, une espèce de « charte de très mauvaise conduite » est soumise à la sagacité et à la signature de tout nouvel « arrivant » !

Cette charte contient vingt deux commandements qui instituent solennellement un certain nombre de prescriptions dont la thématique majeure s’articule autour de ce que, très généralement, la morale universelle réprouve … allègrement !....

VICTOR

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