En effet on parle beaucoup de ces « bouffons » qui pérorent et qui confabulent pour exister un tout petit peu mais pourquoi ne parle t on presque jamais de leurs compagnes les plus loufoques que sont … les « bouffonnes » ?
C’est dommage les gars, vraiment dommage car, en l’occurrence, et pour ce que nous en savons, ici, à La trinité, ce sont les « bouffonnes » qui constituent, à elles seules, la parcelle d’intelligibilité de ce miséreux aréopage !
Les « bouffonnes » sont en réalité repérables, remarquables, et remarquées, à
plusieurs titres en plusieurs endroits et à divers égards.
D’abord elles se distinguent du commun des mortels, ou de leurs contemporaines, par des apparences, physiques et physiologiques, réellement très personnalisées et dont on est en droit de se demander sur quels étranges « modèles » elles se sont calquées.
Mais il faut s’empresser de dire que ça n’est pas « les enveloppes charnelles » des « bouffonnes », fussent elles des plus pittoresques, et des plus exotiques, qui constituent l’essentiel de leurs caractéristiques les plus déroutantes, pour le moins.
Non, effectivement, celles de leurs qualités les plus incommodantes, aux sens les plus basiques, ne résultent pas de leurs aspects externes, quels que puissent être les commentaires les plus désobligeants qui leur soient destinés, elles résultent des « sécrétions que produisent leurs âmes noires et porteuses de haines ».
Mais il est aussi vrai de dire, qu’étrangement, ce sont souvent les moins « avenantes » ou les plus musculairement répugnantes, qui charrient, portent, transportent, colportent et destinent le plus de « venin » à tous ceux, et à toutes celles, qui ne céderaient pas aux imbécilités de leurs dictats, dont ceux parmi les plus fantasmagoriques qu’on puisse imaginer … (les soirs de grands froids et de désespérances !)
Mais, fort heureusement, le « venin » que ces gens de peu de foi sont en capacité d’expectorer ne parvient, non seulement jamais à atteindre ses objectifs, mais en plus et surtout, se retourne contre eux pour y effectuer ses plus mauvaises œuvres !! (et parfois elles sont réellement abjectes)
Et c’est d’ailleurs de cette manière que les équilibres les plus fondamentaux seront maintenus !
Ainsi les ânes, les illettrés et les traitres pourront briller au « firmament » (de quoi on ne sait pas !!) et tous les imbéciles qui leur vouent une adoration sans limite, et qui sont toujours en transe à leurs seuls contacts, pourront alors tranquillement esquisser les premiers pas de leurs surprenantes « chorégraphies » les plus habituelles (et un peu lugubres il faut bien l’admettre).
Mais vous savez ce qui est le plus étrange c’est de devoir constater que les effectifs humains que devraient former les hommes et les femmes qui se sont, un jour, inféodés, et inféodées, à des drôles de « gourous » se soient apparemment si brutalement retirés, effacés, et retirées et effacées, de la « scène » que constituent les rues et « ruelles » (?) de La trinité !
Remarquez que comme d’habitude, ils et elles reviendront « remettre le couvert », après avoir, si possible, changé de « gourou », évidemment ! … très évidemment !!
Chose entendue … !
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