En littérature, et sur scène, le « bouffon » est un « histrion » que même le ridicule les plus flagrant ne parvient jamais à raisonner !
Dans la réalité le « bouffon » peut nous apparaitre sous plusieurs de ses aspects, selon ce que lui dictent les circonstances, ou ses propres besoins, dont ceux parmi les plus innommables !
En général, et à première vue, ce qui distingue le « bouffon » de ses congénères, parmi les plus honorables, c’est son empressement à se faire accepter par l’entremise de mimiques suaves, et de savoureuses gestuelles (enfin il faut vite le dire !) dont il abuse respectivement de l’usage pour masquer l’essentiel de ses très mauvais instincts et abjectes prédispositions !
Ensuite, et toujours pour masquer ses incultures et la très approximative éducation qui en dépend, le « bouffon » tentera toujours de s’attirer les bonnes grâces de celles, et de ceux, qui lui sembleront être les plus susceptibles de servir ses causes dans l’éventualité de leur survenance.
Il faut dire qu’en général les « aréopages de soutien » (ou similaires) dont va finalement se servir le bouffon ne figurent pas parmi les meilleures « extractions » que la société humaine ait produite, loin s’en faut !!
Ensuite encore, et au cours d’un processus qui lui sert de prélude à la mise en œuvre de certaines actions dont on peut dire que la moins déplorable de toutes relève de la pure simple « trahison », le « bouffon » s’applique rechercher des soutiens parmi celles et ceux des individus dont tout porte à croire qu’ils, et qu’elles, ont toujours été inventoriés et inventoriées dans les effectifs des laissé(e)s pour compte et pour des raison que la vraie bonne raison ne saurait ignorer !!
Il convient ici de préciser que la « trahison du bouffon » n’est en rien (mais vraiment en rien du tout) comparable à celle que nous offrent les scénarii historiques traditionnels les plus palpitants !
La « trahison du bouffon » est un acte d’une banalité exaspérante, perpétré par des individus sans aucun talent et qui ne disposent d’aucun estimable moyen de faire différemment pour tenter (vainement) de s’élever dans des milieux dont les accès leur ont toujours été très légitimement interdits et qui lui seront toujours hostiles à tous égards !!
Et, naturellement, ils « disculpent » la nature discutable de ces mesures, pour le moins confiscatoires, par les seuls comportements malicieux, diverses idioties et autres stupides grossièretés dont ils, et elles, détiennent le secret de l’assemblage !
Il est vrai, néanmoins, que les « bouffons » parviennent à convaincre d’autres laissé(e)s pour compte en tentant d’exploiter au mieux la « frénésie » imbécile qui les animent et dont chacun s’accorde à reconnaitre qu’elle résulte essentiellement d’une conjugaison de totale inculture, d’endémique jalousie et de très (très) grande bêtise … basique … en fait tous les ingrédients qui désignent la « condition d’ahuri » au service de tous les autres (ahuris) !
Enfin sous la condition que les autres « ahuris » (toutes conditions confondues) soient plus déficients que « l’ahuri » central, et principal, qui leur sert de « maitre gourou » !!??
Mais il ne faut surtout pas croire que la condition de « bouffon » soit inconfortable ! Elle ne l’est d’autant pas que le « bouffon », par définition, ne connait ni son appartenance ni sa condition !!
C’est d’ailleurs, peur être, ou sans doute ce qui lui permet d’être aussi, et pour mieux se vendre, et vendre les autres, un charmant « bouffon et un traitre qui s’ignore » … y aviez-vous pensé ?
La casserole d’antan …
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