En définitive « ça leur va si bien » …… et quelque puisse être la plus probable étymologie, ou autre extraction, de ce vocable (à l’exception, bien sur, de sa référence à la « marionnette lyonnaise » du même nom) .. « sa seule évocation » suffit à nous faire « vibrer » l’épiderme (ou autre) … pour le meilleur mais aussi, et certes plus fréquemment … pour le pire !!
Pris dans sa signifiance la plus ordinaire, et la plus quotidienne, sans affectation d’aucune sorte, on dit généralement de quelqu’un qu’il est un « guignol » lorsqu’il « se prend la tête » … alors que rien ne saurait justifier qu’il le fasse !!
Le « guignol » répond généralement à des caractéristiques assez insignifiantes … et sa proximité n’inspire aucun autre désir que celui de « prendre le large » !
Le « guignol » se distingue par l’entremise de ses apparences organiques … à commencer par ces espèces de nonchalantes « contorsions faciales ».
Des « contorsions » dont le « guignol » orchestre l’intensité, et les amplitudes, afin de produire des effets scéniques souhaités… en accompagnement de ses litanies !
Il est inexact de dire que le « guignol » ne s’exprime pas car il le fait . … mais le « verbiage langoureux » qu’il applique à dire des banalités laisse effectivement supposer qu’il ne dit rien !
Ou rien d’intéressant … ce qui est d’ailleurs toujours le cas !
Les « homélies cadencées » du « guignol » ne participent jamais d’une saine conception spirituelle… elles sont très exactement ce qu’on est en droit d’attendre d’elles .. et de lui !!
Elles ne contribuent d’ailleurs jamais à élever le débat et leur « totale insipidité » n’a aucune autre conséquence que celle relative à « la pure perte de temps consacré à les écouter » !!
En réalité et à l’exception des quelques « rengaines impudiquement dérobées » à d’authentiques discoureurs le « guignol » ne dispose d’aucune aptitude à composer, de sa propre initiative et de sa propre aptitude, de « très passionnantes allocutions » !
D’autant moins passionnantes, d’ailleurs, que le « guignol » s’oblige à leur infliger celles des limites auxquelles il est contraint de se prescrire à lui-même … « faute de mieux ».. !!
En général le « guignol affiche un dogmatisme absolu » à l’endroit de tout ce qu’il n’est pas en capacité de bien comprendre !
Naturellement l’importance de l’inventaire de tout ce qu’il ne comprend pas l’oblige « à afficher ce dogmatisme en quasi permanence et sur presque toutes choses … !! » !
Le « guignol » supporte très mal « l’anonymat » auquel « l’état de ses carences et le caractère abyssal de son inculture » l’ont toujours si déplorablement soumis !
Bien entendu ces déficits, si gravissimes soient ils, « ne constituent pas les seuls faits fondateurs à sa condition première … d’anonyme et pas fier de l’être !!! » !
Et pour ne pas subir cette insupportable condition le « guignol » se livre à toutes sortes « d’obscures pratiques... toujours pernicieuses » !
A suivre !!... et bonsoir
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