Oui, en effet, et pour ne rien te cacher l’absence du « bulletin » de la Ville, pendant cette période estivale m’a beaucoup affectée.
C’est pourquoi j’attends impatiemment que la nouvelle parution soit éditée, et distribuée, ce qui, en principe, devrait être fait en fin de semaine.
Il est vrai que contrairement à ce qu’ont l’habitude de faire certaines autres municipalités, celle de La Trinité a opté pour des éditions bi mensuelles et, même, si, à certains égards, elles ne sont pas aussi « prestigieuses » que celles que d’autres villes publient de manière moins fréquente (trimestrielle, semestrielle, voire annuelle) elles répondent mieux à nos attentes et nos besoins.
Notamment ceux des besoins dont la satisfaction dépend du caractère réactif de l’information qui y est diffusée.
Comme tu n’as pas manqué de l’observer, et de le souligner aussi, les oppositions s’y expriment très librement à l’intérieur des espaces qui leur sont réservés, de droit.
Curieusement quelques unes d’entre elles (je parle des oppositions) ne semblent pas encore avoir compris comment en gérer l’économie pour en faire un usage plus profitable, ou pour le moins plus intelligent …
J’ai bien compris, et j’en suis très heureuse, que la grotesque naïveté ( ?!?) de certains des textes qui s’y inscrivent ont finalement interpellé ton sens de l’équité, de la sémantique, de la grammaire et tout bêtement, disons le, ce bon sens pratique, intelligible et populaire, dont tu as toujours su faire preuve en toutes occasions !
C’est vrai que, comme tu l’as toi-même noté, dès que l’adversité à laquelle tu fais allusion s’obstine, s’évertue et persiste à vouloir subtilement rivaliser avec de « bon mots » … sans jamais y parvenir … elle se ridiculise tellement aux yeux de tous ceux qui sont un peu plus doués qu’elle (heureusement ils sont très nombreux !!) .. que son audience chute vertigineusement… même au dessous de ce qu’elle était en période élective…. et c’est pas peu dire !!
Mais tu sais, mon vrai questionnement, à la lecture de quelques unes de ces écritures les plus pitoyablement bouffonnes, s’adresse à cette espèce d’abnégation, et de fidélité, qu’expriment certains (faut voir qui et pourquoi) envers une telle médiocrité et les âneries qui en dépendent.
Je te tiens toutefois à remercier les circonstances qui m’ont libérée de cette contrainte idiote, et dont je me persuadais qu’elle relevait d’un devoir de courtoisie.. et, entre autres, celui d’avoir à saluer des gens qui ne m’inspirent pas du tout … pas du tout !!
Des circonstances qui m’ont notamment appris que le mépris exposait et traduisait mieux que la haine le peu de considération que nous ressentons à l’endroit de toutes celles et tous ceux qui ne valent même pas un « pet de lapin » !!!
GENEVIEVE
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