mercredi 5 novembre 2008

« Traversez moi »… si vous le souhaitez… !

Il est vrai qu’on s’attendait tous à ce que certains des « traversés » (et autres traversées) par l’horrible « trépidante vie niçoise » (et ses indicibles inconvenances) attendent eux-mêmes quelque temps avant d’afficher leur « bonnes mines » en public ! (y compris celle, très chère, à laquelle vous pensez et qui est tout naturellement comprise en prime dans le lot) ! (qu’en pensent nos fils, et filles, de bonnes et honorables familles ???)

Surtout après qu’ils (et elles ou elle seulement) se soient si remarquablement distingués (et distinguées) en nous enseignant avec autant de « générosité » les finesses de la littérature hyper moderne !

On est d’ailleurs prêts à parier à 10 contre 1 que la prochaine fois ces mêmes « narrateurs » devant l’éternel (et quels compteurs !) nous honorerons d’un véritable morceau d’écriture très « architecturé » !

Et c’est en percevant les « différences », notamment en l’absence des grotesques idiomes qui nous sont très régulièrement infligés, que vous saurez si nos « auteurs en herbe » (verte) auront finalement réussi à comprendre que lorsqu’on est pas bon, mais alors pas bon du tout du tout, il vaut mieux « sous traiter » !! C’est un sage conseil « intéressé » .. (et merci de bien le suivre, ce sera autant de gagné !!)

Par conséquent appliquez vous à bien vérifier… et vous verrez que c’est ce qu’ils (ou elles !) finiront par intelligemment (une fois n’est pas coutume !) mettre en application ! (c’est ce que nous souhaitons tous !!)

Et bien entendu, en « final de compte », si l’écriture convient autant à votre oreille qu’à tous vos autres sens (on va pas les énumérer !) c’est qu’ils (et elle) en auront sous traité la composition !

Et entre nous et le boulanger de Blois même si on s’en moque totalement il fallait bien qu’on le dise !

En effet il est parfois important de remettre les pendules à l’heure des réalités, ainsi qu’à celle de la raison, et bien faire comprendre à quelques « retardataires » (mais bien pensants tout de même) qu’en préalable à « tout le reste » il convient déjà d’apprécier si les prétendant(e)s aux fonctions qu’ils (ou elles ou elle seulement) affirment pouvoir assumer sont dignes de confiance ou pas !

Il est vrai que ça n’est pas en éditant des inepties aussi grossièrement burlesques que celles qui sont parfois soumises à nos perspicacités qu’on peut raisonnablement fonder de quelconques « évaluations » ! (qu’en pensent nos fils, et filles, de bonnes et honorables familles ???)

Il est vrai aussi que parfois ce sont des impétrants, et impétrantes, qui, déjà très pénalisé(e)s et sanctionné(e)s par le vote, sont assorti(e)s de « réputations » qui nous invitent à la mésestime ou qui nous incitent à la raillerie !! (qu’en pensent nos fils, et filles, de bonnes et honorables familles ???)

A ne pas en douter il n’y a rien de plus sournois, mais dans le même temps de plus révélateur, que la réputation qu’on se coltine … lorsqu’on est « personnellement » responsable de ce qui en impulse la survenance bien évidemment ! (qu’en pensent nos fils, et filles, de bonnes et honorables familles ???)

Nos grands-mères avaient pour habitude de dire « qu’il n’y a pas de fumée sans feu » et nonobstant le caractère très basique de cette sentence vous conviendrez qu’elle est toujours d’actualité !

La difficulté étant que même si on a de fortes (et sensées) présomptions sur les origines historiques de l’incendie (vous aurez compris l’allégorie… !) si on est pas en capacité d’apporter la preuve de qui en est le véritable « instigateur – profiteur »… il convient de se taire, même si le silence ne vaut que dix pour cent !!! (qu’en pensent nos fils, et filles, de bonnes et honorables familles ???)

Un silence qui ne vaut pas complicité et qui ne nous empêche d’ailleurs pas de ménager et d’entretenir nos convictions, et celles de certains autres parmi les plus honorables !

C’est vrai que l’honorabilité c’est comme l’écriture, on en est naturellement pourvu (même sans grandiloquence, prétention ou emphase) ou on en est totalement DEPOURVU (sans gloire !!)

Epiphénomène

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