samedi 29 novembre 2008

Vaut-il mieux parler pour ne rien dire ou ne rien dire… tout court ?

Observez attentivement tous ces guignols qui se répandent constamment en d’insensés bavardages dans le but, notamment, de travestir leur immense inculture !

On est en droit (et peut être même en devoir..) de se demander par quels subterfuges ils parviennent encore à convaincre !! Enfin façon de parler !!

Mais à n’en pas douter c’est précisément dans le corps même de cette interrogation que se niche la réponse !

La lecture de leurs « communiqués » ne fait que le confirmer !

En effet les énormités qui y sont inscrites sont éprouvantes !

En particulier en constatant vers quel état de délabrement spirituel… peut conduire celles et ceux qui font de l’inculture leur condition majeure … par défaut … et non pas par choix… bien sur !

Les radotages de caniveau en question ...affligeantes banalités de godiches … n’honorent certes pas leurs auteurs et leurs signataires… mais nous confortent dans celles de nos positions qui leurs sont définitivement hostiles !

Mais que sommes-nous en droit d’attendre de la part de ces gougnafiers qui ne disposent sans doute que d’un quart de leurs cerveaux qui soit en état de marche ?

A-t-on le droit de priver ces rustres d’exercer ce qu’il leur reste de potentiel verbeux alors que leur infâme baratin constitue le seul exutoire possible servant à l’expression de leur haine, de leur bêtise et de leur jalousie … ?

Leurs récents essais « philosophico littéraires » les ont une fois encore mis au pilori !

C’est d’ailleurs si ridicule (euphémisme)… que quelques uns des très proches amies, et amis, de ces si emblématiques « auteurs associés » nous ont invité à bien vouloir noter qu’en aucun cas ils avaient cautionné cette annonce, si minable tellement farcie de non sens, d’inepties et d’inouïes bêtises… et qu’en aucun cas ils entendent renouveler leurs expériences avec des ahuris de cet acabit !!

Toutes celles et ceux qui en ont pris connaissance se posent encore la question de savoir comment on peut en arriver à un tel degré de … allez disons le … de nullité !!

Et cependant nous nous sommes même appliqués à voir s’il n’y avait pas quelques préceptes « cachés », d’une plus grande intelligibilité … un peu ésotérique … voir maçonnique … inaccessible aux profanes … mais NON … c’est tout bêtement con de chez con … et plus que ça … c’est guère possible !!

C’est vrai que pour un essai qui avait sans doute vocation à être un « morceau d’architecture », au sens le plus symbolique du terme … on ne peut que regretter qu’il ait été universellement relégué dans la sphère des « objets perdus »… et qu’on souhaite ne jamais retrouver !!

Nous vous exhortons à lire ces conneries avec le plus d’attention (et d’indulgence) possibles !!

Juste pour voir de quelles manières seraient gérées les « affaires collectives » dans l’hypothèse où nous nous en remettrions à de tels « apocos » (nom masculin du dix huitième siècle qui désigne quelqu’un (ou quelqu’une) de peu d’esprit) !!

Le plus dramatique (pour elles et eux) c’est qu’ils (et elles) parviennent à se satisfaire de leurs conditions respectives ! Mais apparemment ça ne surprend pas outre mesure !!


LEUSSESTUCRU

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