vendredi 23 mai 2008

Du bourdonnement dans la bergerie

C’est bien évidemment Serge qui a raison en parlant de bourdonnement !

La bergerie où se réfugiaient feu les communistes et quelques uns de leurs désormais rarissimes amis de l’extrême gauche socialiste, a finalement été investie par de nouveaux prédateurs.

Ceux venus d’un grand froid très différent.

Le temps des cerises est fini et il faudra bien que nos anciens gentils petits amis des gauches dites dures, mais en réalité tout est relatif, projètent d’abandonner leurs ambitions.

Et il faudra par conséquent qu’ils cèdent pour toujours, purement et simplement, leur sympathique prépondérance historique.

Une prépondérance devenue hyper ringarde du fait de l’émergence, et des agitations qu’elle encourage, de ces prédateurs d’un genre au moins plus déterminé, même s’il ne fait pas recette.

Pour ces prédateurs l’important c’est le verbe et ils en abusent tellement qu’on en arrive à se demander si il s’inscrit vraiment dans la continuité d’une pensée ou s’il survient tout bêtement en fonction de la résonance que provoquent ses vibrations.

Mais il est vrai de répéter (une fois encore) à nos amis des anciennes gauches qui se sont laissés investir …. qu’au pays des aveugles ….

Bien à vous les « feu dignitaires » .. d’une époque bien définitivement révolue pour vous !

Et grâce à vous seuls !

Benjamin

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