mardi 27 mai 2008

Observateur

Je ne suis qu’un observateur sans ambition particulière et je n’attends rien de quiconque, à l’exception bien entendu, des membres les plus proches de ma famille et de quelques amis fidèles.

Et c’est déjà pas mal.

Comme de nombreux trinitaires je me suis équipé en matériels informatiques et il m’arrive de visiter des sites comme le votre.

J’avoue ne pas avoir trouvé d’intérêt à en lire certains avec autant de plaisir (presque tous les autres d’ailleurs) et qui sont manifestement inspirés par la haine que procure l’échec cuisant et renouvelé.

Surtout lorsque, pour des raisons inconnues, ceux qui en sont affectés, ou ceux qui en sont déçus, ne s’attendaient pas à recevoir, en plein, de telles baffes politiques.

Et pour des baffes ce « furent des baffes » !

Mais c’est un risque qu’il faut savoir intégrer avec calme et sagesse.

Quoique pour ce qui est de la sagesse on repassera les voir quand ils sauront mettre en application les leçons d’humanisme qu’ils s’efforcent (sans aucun crédit) de marchander auprès de ceux qui ne peuvent pas faire autrement (et pour cause) que d’écouter leurs sempiternelles et farfelues palabres.

De la sagesse il faudrait aussi en parler à la suite des actes sordides dont tout le monde semble s’être beaucoup offusqué et qui a eu pour unité de lieu le square du monument aux morts.

Je ne parviens pas encore à imaginer de telles conneries.

Il faut croire que ceux qui en sont responsables les comptabilisent (les conneries) pour bien montrer qu’ils s’inscrivent irrémédiablement dans le vrai sillon staliniste.

Vous savez celui que nous souhaiterions qu’il n’existât jamais tant il marqua les années parmi celles les plus noires de l’humanité.

Quand je pense qu’il peut encore exister aujourd’hui des disciples endoctrinés et dont finalement on vient de se rendre compte qu’ils sont encore capables de grandes indignités.

Mais ça doit être dans les « gênes » (oups !) puisque là où il y en a il n’y a pas de plaisir.

Merci de votre concours à diffuser des vérités, même si elles ne sont pas toutes bonnes à dire.

Séraphin

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