Par hasard je viens de me brancher sur des ondes d’une radio que je ne connaissais pas et qui diffuse des infos entre deux morceaux de musique.
Et qui « entends-JE » sur ces ondes ?? .. un des quelques « trinitaires siffleurs » et houspilleurs de la prière commémorative lors de la cérémonie du huit mai dernier.
Il était interrogé sur la raison de ses rouspétances sonores (et indélicates) devant le monument aux morts.
Décidément il ne faut pas avoir grand-chose à foutre pour s’accrocher si désespérément à des chimères sur lesquelles les trinitaires ont déjà largement exprimé leur profond dégoût.
Et surtout au sujet desquelles ils ont tourné la page pour surtout ne pas s’endormir dessus.
Mais cela dit et chacun étant libre de ses actes ce serait tellement plus sage que ces tous petits nouveaux héros des temps modernes, soient nettement plus respectueux de la liberté des autres.
Et plus particulièrement de la liberté de pratiquer la foi de son choix sans être inquiété de quelque manière que ce soit.
Ceci bien entendu sous la condition que l’exercice de cette liberté ne constitue pas un handicap à d’autres pratiques dont celles qui dépendent de l’athéisme.
Tout le monde sait bien que l’athéisme est une doctrine de totale dénégation de l’existence de Dieu, ou d’un Dieu, quel qu’il puisse être.
Aucun des membres de nos assemblées communales ne semble avoir manifesté le désir d’aller convaincre ou convertir quiconque s’inscrirait dans cette conviction athéiste.
De la même manière il serait plutôt judicieux que de leur côté ces mêmes athéistes démontrent d’un peu plus de tolérance envers ceux qui estiment devoir pratiquer leur foi dans la paix.
C’est pourquoi ces démonstrations confiscatoires de haine, si vulgairement et exprimées par quelques névrosés, sont très franchement déplacées.
On comprend néanmoins que les quelques marxistes convaincus, et leurs disciples, plus très nombreux, refusent encore toute forme d’aliénation dépendante des questionnements sur l’existence de Dieu et qui s’effectueraient au préjudice des interrogations sur le bien être de l’Homme et de son avenir.
Sans doute que nos troubadours du jour leur trouveront une solution, puisqu’ils sont soudés par de similaires certitudes.
Arthur
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