dimanche 18 mai 2008

Une grappe, deux grappes, trois grappes …

Aujourd’hui à l’occasion des trop rapides messages délivrés lors de la fête patronale, sous le chapiteau, on a bien aperçu plusieurs grappes d’individus déambuler de droite à gauche et de gauche à droite, parfois, mais de manière anecdotique, en passant par des centres de gauche et des centres de droite, un peu comme si cette enivrante façon de procéder était réellement prémonitoire ?

Ces grappes, toutes capacités (?) réunies, et bien sur recomposées au mieux et à toutes fins utiles, comportant au très grand maximum, une bonne huitaine d’individus, dont au moins une femme, ne souhaitaient manifestement pas fusionner avec d’autres groupes de personnes présentes et dont les attitudes paraissaient beaucoup moins intrigantes.

Ces grappes se tenaient forcément à l’écart et semblaient tenir à dissimuler les raisons de cet éloignement.

Ce qui est d’autant plus étrange c’est que leur présence paraissait vouloir tout bêtement traduire une furieuse volonté de « re apparaître » pour améliorer leur petit solde d’audience.

Mais cette manœuvre d’instinct en réalité laissait deviner, avant de le supposer, qu’ils avaient de grandes confidences à échanger.

Ceci, peut être, en préparation de quelques actions hautement stratégiques et dans une intelligente perspective, mais encore très méconnue ?

Hors cette explication on demanderait bien ce que des bonnes gens comme ça auraient de si désespérément important à se dire pour ne même pas profiter de ces supers bons moments qui nous sont si aimablement offerts par une municipalité qui vient d’être élue (malgré tout).

Au fait j’allais oublié de préciser que certaines des progénitures (de celles qui ont souvent fait la UNE des blogs) se sont même déplacées de très loin pour venir écouter ce que leurs gourous préférés avaient à leur dire d’important pour la suite, ou pas.

Faut croire qu’elles n’ont pas mieux à faire !

François

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