Le bulletin municipal vient d’être déposé dans ma boîte aux lettres et j’en fais une lecture immédiate….
Malgré son style un peu trop alambiqué l’éditorial de cette 172ième édition nous renseigne assez précisément sur les singuliers comportements qui semblent avoir assombri la cérémonie commémorative du 8 mai dernier, devant le monument à nos morts pour la France.
Des agissements tellement inhabituels, tellement insensés et sordides que je n’ai pas voulu y croire lorsqu’ils m’ont été rapportés, il y a quelques jours de cela.
Mais c’est ainsi… et tous ceux qui en sont informés, apparemment ils sont très nombreux, regrettent que de telles mesquineries puissent encore se produire en des circonstances qui appellent le respect, et puissent s’exprimer au plus grand au mépris de tous les enseignements reçus sur la tolérance et les libertés individuelles !!
Nous avons honte pour celles et ceux qui en ont été les responsables … et espérons vivement que leurs conceptions de la liberté aillent s’exercer ailleurs … le plus loin possible !
Cet épisode, de l’avis de tous ceux qui étaient présents, fait partie des plus sordides auxquels il leur a été donné d’assister !
Et puis comme d’habitude, et d’ordinaire, parmi les commentaires qui figurent dans l’espace réservé à l’opposition, nous retrouvons les habituelles et grotesques fautes de nos duettistes (cette formule n’est pas de moi) et conteurs parmi les plus tourmentés.
Et pour mieux ridiculiser nos prophètes adorés voici un bel exemple de leurs immenses aptitudes à gérer leurs propres écritures…. Toujours d’après leur merveilleux texte : « peut-on faire plus « compliquer »…
Et dans le fond, un « r » de plus ou de moins, en substitution du « é » de rigueur ça ne va pas changer la face du monde ! Ni même d’ailleurs la fesse qui sert quelquefois de face .. ou vice versa !
NB. Dépêchez vous par conséquent de retrouver cette bévue aux termes d’un texte assez original à de multiples égards et à l’endroit duquel la rédaction ne s’est naturellement pas autorisée à corriger une orthographe très mérovingienne ...
NORBERT LE BON
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