Je sais qu’on peut vouloir se faire plaisir en annonçant sans ambiguïté ce que nous pensons réellement des gens et de leur façon d’être.
Et puis quoi .. ?? souvent plus rien ne se passe après parce que si vous prenez, entre autres exemples, celui du « chevalier blanc » au sujet duquel tout ce qui pouvait être dit a été dit, nous n’avons plus matière à dire plus … évidemment … sauf exception et / ou survenance d’un fait nouveau ou révélé…
Pensons-nous pouvoir l’enrichir en lui faisant prendre conscience de son état ?... ? ce serait une grave erreur de le croire car, à ce stade le l’abyssal déficit spirituel (que celui là pour aujourd’hui) qui affecte sa personne, il n’y a plus grand-chose à faire… à l’exception de le laisser survivre sa retraite le plus paisiblement du monde (déjà la retraite ????)... une retraite dont, d’ailleurs, on ne peut même pas affirmer qu’elle n’a pas été méritée.
C’est vrai qu’il importe assez peu de devoir constater que le clown en question passe les trois quarts de sa vie à tenter d’outrager celles et ceux qui ont eu un jour la très bonne idée de ramener ses prétentions aux niveaux auxquels elles appartiennent…. , mais que faire d’autre ?
Cette cruelle manifestation de vérité, dont l’expression était devenue indispensable à la bonne lisibilité des faits, s’est aussi traduite par ce que nous constatons aujourd’hui, en termes de ressentiments et de toutes les haines qui en dépendent.
Mais chacun réagit très précisément en fonction de sa personnalité, sa culture, son éducation et aussi de ce que lui dicte son courant de conscience.
C’est un peu selon ces critères, auxquels il faudrait adjoindre des qualités telles que la fiabilité, la générosité, la charité et la fidélité, qu’on choisit généralement d’investir politiquement un candidat … ou de ne pas le faire …
Benjamin Brocoli
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