Naturellement venant de ceux qui fustigent régulièrement celles des cultures qui ne s’inscrivent pas dans leurs dialectiques matérialistes et révolutionnaires (sans trop savoir pourquoi d’ailleurs), il n’y a rien d’étonnant.
C’est vrai que nous n’avons sans doute pas la même conception de ce « qu’ils » ont tout de même désigné comme étant de la « culture ».
Pour certains des plus sensés, en 2001, il s’agissait prioritairement de ne pas laisser se perpétuer des habitudes d’irresponsables qui exposaient (réellement) les enfants scolarisés, en maternelle et en primaire, à toutes sortes de risques en raison de l’obsolescence des équipements de l’école des Gerles.
A priori tout a été dit sur la grande dangerosité de ces bâtiments, conçus à la hâte selon des procédés frappés d’interdiction de mise en œuvre depuis longtemps, et dont l’ancienne majorité ne semblait pas très déterminée à prendre en compte le caractère effroyablement périlleux.
Pour d’autres, plus inféodés à des principes dogmatiques (normal), il s’agissait surtout de se dépêcher pour vite réaliser (sans les moyens utiles pour y parvenir ou en tout cas « ils » n’ont jamais dit comment) des équipements publics en substitution de ceux qu’ils avaient un peu trop promptement détruits sans perspective.
Entre nous et de nombreux autres, ne trouvez vous pas curieux que les protagonistes de tous les désastres financiers (voir le rapport de la Chambre et ceux très incisifs des audits), culturels (voir les démolitions des équipements correspondants), éducatifs (voir le maintien des écoles obsolètes) et sportifs (le stade, le centre Olivier Popo, le boulodrome régional… ça vous rappelle quoi ?) en matière d’équipements publics tendent sans arrêt la perche pour se faire ramasser aussi facilement … vous avez dit désert culturel ????
Peut être le veulent ils se faire ramasser car ils sont (au moins) conscients des difficultés qu’ils confronteraient dans l’hypothèse d’un retour aux affaires.
C’est l’éventualité d’une considération qu’il conviendrait d’ailleurs de mettre à leur crédit, et qui est intelligemment et directement opposée à celle qui a déjà été mise au débit des quelques débiles affamés qui eux, convoitent la fonction (pourquoi ??) en se « foutant » vraiment de savoir quelles sont les difficultés ou comment les résoudre si elles surviennent … ceci au motif de leurs appétits de leur ignorance et de leur instabilité endémiques.
En tout cas et en termes de « dessert culturel » les réflexions de nos amis communistes constituent une première cerise sur le gâteau !!
La deuxième et la troisième et la quatrième etc…, toutes ensemble, « cerises sur le dessert » ce sont les aberrations récurrentes dont on tente d’abreuver sans répit les quinze gogos et demi qui croient encore que ce sont les communistes et leurs associés qui ont sauvé La Trinité de ….. L’inculture … !! ou qui s’engagent à le faire.
Mais si nous pouvons nous permettre un conseil : mettez vous à jour !
Charles Brouss
C’est l’éventualité d’une considération qu’il conviendrait d’ailleurs de mettre à leur crédit, et qui est intelligemment et directement opposée à celle qui a déjà été mise au débit des quelques débiles affamés qui eux, convoitent la fonction (pourquoi ??) en se « foutant » vraiment de savoir quelles sont les difficultés ou comment les résoudre si elles surviennent … ceci au motif de leurs appétits de leur ignorance et de leur instabilité endémiques.
En tout cas et en termes de « dessert culturel » les réflexions de nos amis communistes constituent une première cerise sur le gâteau !!
La deuxième et la troisième et la quatrième etc…, toutes ensemble, « cerises sur le dessert » ce sont les aberrations récurrentes dont on tente d’abreuver sans répit les quinze gogos et demi qui croient encore que ce sont les communistes et leurs associés qui ont sauvé La Trinité de ….. L’inculture … !! ou qui s’engagent à le faire.
Mais si nous pouvons nous permettre un conseil : mettez vous à jour !
Charles Brouss
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