Et en cette matière ceux qui détiennent toutes les palmes n’ont effectivement pas la réputation de voler très haut … même pas haut du tout …
Mais en réalité ce qu’il y a de plus amusant, pour l’observateur objectif, c’est de voir comment ces infatigables bonimenteurs parviennent à ne même pas s’apercevoir des âneries que contient leur baratin et les fadaises qui en dépendent.
A les entendre (ne perdons surtout pas de temps à les écouter) ils savent tout mieux faire mais, au regard de ce qu’on leur rabâche sans cesse, il conviendrait désormais qu’ils s’appliquent à nous dire quoi, quand et comment.
Parce que, convenons en, les quelques petits projets au sujet desquels on leur a laissé un peu de temps pour faire joujou ne semblent pas s’être soldés par d’enthousiasmantes satisfactions.
A en croire quelques riverains de l’église (ceux situés dans un rayon de 500 mètres), aujourd’hui contraints de soumettre leurs projets à la sagacité sélective de l’honorable institution des « Bâtiments de France », avant qu’ils ne soient instruits par les service de l’Urbanisme (une vraie complication de plus) … les auteurs (on sait qui !) responsables de ce dispositif confiscatoire (chercher l’erreur et ceux qui en tirent quelques avantages) n’ont certes pas du tout agi dans l’intérêt de ceux qui en sont aujourd’hui les victimes.
Ce merveilleux arrangement de dupes a été savamment concocté par un des anciens adjoints dans le cadre de ses anciennes délégations…
Etant aussi bien entendu que le fait d’avoir accepté de « classer » notre bâtiment cultuel, l’église de La trinité, contre l’avis des experts mais selon les volontés affirmées et conjuguées de l’adjoint, et d’un architecte, n’a rien apporté à la commune en termes de subventions ou concours.
C’est ça le bouquet ! quelle extraordinaire gestion des sols et du reste !!!
Je ne sais pas trop ce qui s’est réellement passé au cours des réfections entreprises au « cercle de l’union »… mais je crois savoir que ça ne s’est pas mieux conclu … même si ça n’a rien à voir avec ce qui précède.
J’attends qu’on m’éclaire plus exhaustivement pour en parler mieux.
Roger Laboisson
Mais en réalité ce qu’il y a de plus amusant, pour l’observateur objectif, c’est de voir comment ces infatigables bonimenteurs parviennent à ne même pas s’apercevoir des âneries que contient leur baratin et les fadaises qui en dépendent.
A les entendre (ne perdons surtout pas de temps à les écouter) ils savent tout mieux faire mais, au regard de ce qu’on leur rabâche sans cesse, il conviendrait désormais qu’ils s’appliquent à nous dire quoi, quand et comment.
Parce que, convenons en, les quelques petits projets au sujet desquels on leur a laissé un peu de temps pour faire joujou ne semblent pas s’être soldés par d’enthousiasmantes satisfactions.
A en croire quelques riverains de l’église (ceux situés dans un rayon de 500 mètres), aujourd’hui contraints de soumettre leurs projets à la sagacité sélective de l’honorable institution des « Bâtiments de France », avant qu’ils ne soient instruits par les service de l’Urbanisme (une vraie complication de plus) … les auteurs (on sait qui !) responsables de ce dispositif confiscatoire (chercher l’erreur et ceux qui en tirent quelques avantages) n’ont certes pas du tout agi dans l’intérêt de ceux qui en sont aujourd’hui les victimes.
Ce merveilleux arrangement de dupes a été savamment concocté par un des anciens adjoints dans le cadre de ses anciennes délégations…
Etant aussi bien entendu que le fait d’avoir accepté de « classer » notre bâtiment cultuel, l’église de La trinité, contre l’avis des experts mais selon les volontés affirmées et conjuguées de l’adjoint, et d’un architecte, n’a rien apporté à la commune en termes de subventions ou concours.
C’est ça le bouquet ! quelle extraordinaire gestion des sols et du reste !!!
Je ne sais pas trop ce qui s’est réellement passé au cours des réfections entreprises au « cercle de l’union »… mais je crois savoir que ça ne s’est pas mieux conclu … même si ça n’a rien à voir avec ce qui précède.
J’attends qu’on m’éclaire plus exhaustivement pour en parler mieux.
Roger Laboisson
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