lundi 24 décembre 2007

Y a pas de quoi !!

Je ne me prénomme pas réellement Jeannot. C’est un prénom d’emprunt pour voir sans être vu et dire sans être battu … façon de dire ..

En 1984 lorsque je suis arrivé à La Trinité, pour y vivre, on évoquait déjà quelques uns des noms qui réapparaissent aujourd’hui dans le cadre des municipales de 2008.

Il faudra m’expliquer un « truc » que je n’ai pas encore très bien compris.

Toutes les droites trinitaires semblaient ravies que l’équipe actuelle ait pu remporter les élections de 2001 et jusqu’à la preuve du contraire on ne lui reproche rien de concret.

Si ce n’est, bien entendu, qu’elle s’est séparé de celles et ceux avec qui elle ne parvenait plus à s’entendre.

Selon qu’on interroge les exclu(e)s ou les autres la version diffère dans les formes et dans le fond.

Les exclu(e)s considérant qu’ils, ou elles, se sont démarqué(e)s et les autres, dont le maire, précisant qu’ils, ou elles, ont été « débarqué(e)s »….

Il est vrai que les évènements et leurs dates plaident en faveur du « débarquage ».

Alors, après ce débarquage, l’équipe majoritaire a du assurer la continuité des affaires en évitant les pièges que lui tendaient, désormais, les deux oppositions municipales.

J’ajouterai qu’à entendre ou lire tout ce qui pouvait être entendu ou lu, en son temps,il ne se révélait aucun fondement légitime (ou sensé) aux positions de l’opposition émergente.

Le seul perceptible étant un des dérivés de la convoitise.

Depuis j’ai eu l’occasion de m’entretenir avec, respectivement, une des deux dissidentes, et le dissident.

Pour ce qui concerne la dissidente visée, il n’y a rien d’intéressant à dire si ce n’est qu’elle voue une passion pour la procédure contentieuse.

En revanche « le » dissident tient un tout autre discours.

D’abord il tente de m’enrôler dans son groupe, ensuite il me susurre des bribes de phrases absolument incohérentes et quasi diffamatoires sur tous les conseillers et adjoints de la ville.

Sa haine était telle que j’ai eu du mal à m’extirper de ce piège et je me demande encore aujourd’hui ce qui pouvait susciter autant de haine et de détermination.

Par la suite certains de ses ex proches m’ont confirmé que ses habitudes de vendeur en gros, et en moins gros, de papeteries avaient façonné son cerveau et tout ce qui en dépend.

Ils m’ont appris que cet individu avait tout de même le mérite d’être besogneux et que ça ne le dérangeait pas de passer 10 heures à convaincre ses acheteurs là où 10 minutes auraient été suffisantes pour conclure ou s’en aller.


Jeannot Lautre

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