lundi 3 décembre 2007

Les deux font la paire…

Il faudrait être aveugle pour ne pas avoir remarqué que « Zarathoustra » s’affichait presque constamment aux côtés d’une fidèle « compagne »…., de campagne.

Une compagne qui ne l’a pourtant pas toujours traité avec beaucoup d’égards. Ni même avec beaucoup de considération.

En fait qui l’a toujours traité comme un moins que rien … faut pas exagérer tout de même …

Une aversion qui se conclut, sans trop de délai, par la mis à l’écart de celui dont, en ce temps là déjà, on ne disait pas que du bien (litote).

Cette désunion reçu très vite la bénédiction de tous puisqu’à cette époque, la « compagne », alias « Mata-Hari » (rien à voir avec la vraie !!), disposait encore d’un presque « plein d’audience » positive auprès de ses collègues.

Après le débarquement de l’individu en question les évènements paraissent s’être succédés, vu de l’extérieur, parfois fidèlement à ce qui avait du être prévu, et parfois de manière peut être plus imprévisible.

L’imprévisibilité survint sûrement du seul fait de « Mata-Hari » qui, après s’être offusquée de constater qu’on pouvait aussi … s’offusquer de ses offenses … changea de camp, plus facilement qu’on ne change de chemise… quand on en change ….et devint la meilleure amie de son… ex meilleur ennemi (mais pas comme dans le film).

En réalité la sordide connotation de cette histoire, sans grand intérêt pour ceux qui n’en ont pas suivi les épisodes à l’échelle de la vie, met en évidence la fragilité de celles et ceux qui, principalement commandés par la haine et la bêtise, s’attribuent la capacité et le droit correspondant à faire le mal.
Marcelle Bouccin

P.S. si vous avez des difficulté à reconnaître les personnages cités adressez vous directement à eux … merci d’avance.

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