Je ne sais pas comment vous le ressentez mais depuis que certains de vos amis ont manifesté le désir de savoir ce que proposent (concrètement) tous ceux qui se sont d’abord distingués par l’expression de la critique … c’est le silence radio … intégral.
A l’exception de quelques gargouillis plus apparentés à des crises de gastro qu’à des commentaires sensés, je n’ai pas lu quoi que ce soit qui puisse constituer une réponse intelligente ( ?) aux interrogations …
On m’a toutefois indiqué que les sorcières, et autres pertinents sorciers associés du chiffre, avaient encore sévi par l’entremise de grandes démonstrations, comme ils le font épisodiquement, pour tenter d’impressionner, faute de pouvoir le faire autrement.
Ces démonstrations on les connaît bien .. mais on connaît surtout l’atonie totale qu’opposaient en son temps, toutes celles, et tous ceux, qui fanfaronnent aujourd’hui en faisant semblant d’avoir toujours été étrangers à tout .. et pas seulement du fait de l’incompréhension qui les caractérisait.
De véritables fanfarons d’opérette dont il convient de rappeler haut et fort (entre autres) que, lorsqu’il s’est agi de trouver des solutions adaptées, et personne n’a un jour osé dire que c’était facile, ils se sont complètement réfugiés dans le mutisme le plus intégral …
C’est en ces instants et au cours de toutes ces épreuves difficiles qu’il fallait contribuer et proposer courageusement des issues intelligentes … et non pas attendre que les choses se tassent pour laisser supposer une irresponsabilité à cet égard.
Mais effectivement il y a eu irresponsabilité … par défaut !
D’ailleurs tout le monde en conviendra … c’est précisément en des instants plus délicats (et ça on le sait) que tous les esbroufeurs ne répondent jamais présents à l’appel de leur nom.
Et paradoxalement ils croient tout de même qu’ils seront mieux considérés en feignant d’ignorer leurs défections … des défections que nous comprenons mieux aujourd’hui … puisqu’elles s’inscrivaient déjà dans des perspectives de trahison … par défaut aussi … d’ailleurs.
Pauvre de nous !
Henri Delataille
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