Ceci, notamment, au travers des constats que nous sommes amenés à faire en toutes circonstances, et plus particulièrement pendant les périodes électorales.
En général les groupes de personnes qui se rapprochent à la faveur d’une opportunité magistrale, dont celle qui désigne une action élective démocratique, sont supposés avoir des affinités communes, des attirances réciproques et des appétences de même nature.
Celles et ceux qui s’engagent en toute connaissance de cause, et en bonne conscience, dans le choix « hyper délicat » d’une association politique durable, ou considérée comme devant l’être, le font en étant, pour le moins, convaincu(e)s qu’ils, ou qu’elles, sont sur le point de sceller leur destinée avec le meilleur ou le mieux possible.
C’est d’ailleurs de cette conviction que s’est inspirée la maxime en titre de cette petite réflexion.
Mais ce rappel, vous vous en doutez bien, n’est pas totalement innocent.
Il a pour vocation d’alerter les plus influençables sur ce qu’ils seraient éventuellement « en train » de faire en étant essentiellement motivé(e) par des ressentiments (directes ou induits).
Des ressentiments dont ils doivent à la vérité de reconnaître qu’ils ne leur ressemblent guère et qu’en d’autres circonstances ils ne les auraient jamais laissé dominer leur libre arbitre.
Naturellement cette observation ne s’applique pas à tout le monde… et en particulier pas à celles et ceux qui, par atavisme ou par bêtise, se complaisent à finalement se retrouver au sein d’un « régime » plutôt intolérant et plutôt ordinaire (pris au sens de l’insignifiance) mais au sein duquel ils ou elles vont enfin pouvoir s’épanouir parce que c’est LE REGIME QUI CONVIENT A LEUR COURANT DE CONSCIENCE …., point final.
GEORGES GOUROUTAMATEC
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire