samedi 1 décembre 2007

DEMARQUAGE OU DEBARQUAGE ????

Depuis la parution de ce super mémorable article sur Nice Matin les gens qui savent quelle valeur il convient de donner aux fidèles attachements à une parole donnée (heureusement qu’il en reste… !) nous interpellent régulièrement pour en savoir davantage.
Nous nous autorisons à leur répondre en leur rappelant que pour connaître la vraie personnalité des gens qu’il nous arrive de côtoyer, même au quotidien, il faudrait avoir partagé plusieurs kilos de sel sur la même table ….
Ça fait beaucoup de repas et au moins autant d’occasions qui nous offrent l’opportunité de savoir à qui on a « à faire ».
Il arrive qu’on n’ait pas de temps à consacrer à ces entreprises de reconnaissance et qu’on soit contraints de faire des choix sans prendre suffisamment de précautions.
Des choix auxquels nous n’aurions jamais souscrit si nous avions mieux connu les personnes avec qui, un jour de d’inconscience, nous avons décidé de faire un bout de chemin.
C’est ce qui se passe fréquemment dans toutes les sociétés humaines lorsque elles se constituent dans la précipitation et en méconnaissant les éléments qui sont supposés les composer.
Notre affaire, et les tracasseries qui en sont résultées, ne sont par conséquent pas chose exceptionnelle et tout peut se résumer en des mots dont il ne faut pas craindre la résonance car elle n’affectera que ceux qui en craignent sa vérité.
Au début de notre aventure d’impétrants aux élections municipales de 2001, l’annonce selon laquelle un nom connu des trinitaires pourrait rejoindre notre équipe a été accueillie comme étant plutôt une bonne nouvelle.
Cela au motif que toutes les familles que recouvrait cet honorable patronyme allaient sans doute nous assurer de leurs soutiens et de leurs assistances…., grave première erreur !!!... il s’agissait bien sur du même nom mais qui ne désignait pas forcément la branche la plus appréciée ou la plus honorée de la communauté s’en réclamant.
La deuxième erreur résulta d’un manque de méfiance et de perspicacité …
En effet les premières « fantaisies » qui se sont révélées au début de la campagne auraient du nous inciter à congédier ceux qui en étaient les auteurs.
Conformément d’ailleurs à ce que la plupart d’entre nous souhaitaient faire pour au moins l’un d’entre eux, le plus irrécupérable par défaut, ( certains de ses fidèles acolytes du jour et dont on ne peut pas oublier la virulence se reconnaîtront !!! à moins que le fait de s’être accommodés de ce pourquoi ils les accusaient … leur a fait perdre la mémoire !! … ).
Ces fantaisies constituaient déjà une bonne prémonition de ce que, un au moins de ces individus, le même semble t il, serait en capacité d’hypothéquer pour lâcher ses compagnons et faire diversion à son seul avantage.
On se demande encore aujourd’hui pourquoi nous n’avons pas tout mis en œuvre pour éradiquer ce problème.
La suite ne fut qu’un chapelet de fantaisies les plus grotesques, mais aussi les plus puériles, (régulièrement dénoncées par leurs compagnons d’aujourd’hui … ce qui est franchement et irrésistiblement la preuve d’une flagrante mauvaise appréciation … pour ne pas dire autre chose …) et dont les conséquences directes ont conduit à ce que nous savons .. c’est à dire une rupture définitive.
Nous n’avons naturellement pas de conseil à donner à qui que ce soit mais en lieux et places de ceux qui se préparent à associer leurs démarches pour entreprendre un parcours commun nous nous méfierions de tous ces hâbleurs de foire … les relations qu’on développe avec eux sont nécessairement condamnées à se conclure dans le plus sordide des conflits.
Il est vrai que nous persistons à ne pas comprendre ce qui incite de soi disant prestigieux citoyens et citoyennes à accepter que leurs noms, non moins prestigieux, soient associés à de tels saltimbanques.
D’aucuns diront simplement que ça ne les honore guère …. MAXIME LEBON ET ROBERT LANATURE

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