Malheureusement leurs répréhensions, répétitives à tout va, et bien loin de toutes réalités (qui sont parfois difficiles à admettre, convenons en), ne sont pas du tout de nature à inspirer une grande confiance, mais, comme dit le précepte : « heureux les simples d’esprit … le royaume des cieux leur est acquis… », et celui d’Ali Baba aussi … !
D’ailleurs quelqu’un, parmi vos plus fidèles usagers bloggeurs, l’a déjà dit sans ambiguïté …. … « outre le fait que leurs reproches tournent toujours autour des mêmes radotages, les rengaines qui en constituent le support ne sont jamais assorties de commentaires utiles »… (à moins que, grâce à la mobilisation des intellectuels de service, on nous en dévoile d’autres).
Quelques utopistes de la première heure, plus très frais, viennent de nous exposer, en cravate, en moustaches et en catastrophe, que la municipalité se serait portée périlleusement acquéreuse, sans perspective, d’un immeuble en mauvais état, à l’angle de la 202 et du bd Blanqui.
Ces « avant-gardistes » ont bien sur oublié de préciser, qu’en cet endroit de l’intersection du boulevard D. Blanqui et de la départementale, il avait été convenu (et de mémoire personne n’y était hostile) de calibrer la voierie pour sécuriser et fluidifier un trafic devenu trop important pour l’équipement actuel.
Pour parvenir à réaliser cette mise en sécurité il faudra impérativement intervenir sur l’emprise foncière des bâtiments édifiés au droit du carrefour.
Mais on comprend que cette analyse puisse être « imperméable » … à certains.
La réalisation des ouvrages qui en dépendront sera cofinancée par les collectivités directement concernées, et pas seulement pas la commune.
A bientôt
Mireille Leduc
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