mardi 1 juillet 2008

Dois je défendre l’indéfendable ?

L’autre jour en relisant HEGEL et son incomparable dialectique je n’ai pas pu m’empêcher de penser à ces quelques abrutis d’illettrés qui polluent notre atmosphère.

Et de plus ils la polluent sans vergogne, revêtu de cette espèce d’orgueil qui caractérise si parfaitement bien certains guignols lorsqu’ils agrègent de l’idiotie à leurs conditions d’imbéciles !

En effet on aura noté que dans l’expression de ses visions, HEGEL, cite les interdépendances entre la thèse et l’antithèse correspondante.

Il relate de l’importance des conséquences qui en résultent et dont il prétend qu’elles constituent une synthèse aux termes de laquelle s’inscrit un processus logique et rationnel visant la recherche de la vérité et de son devenir.

Et ceci dans d’heureuses perspectives humanistes….

Pour revenir à nos moutons disons que ces réflexions nous invitent à considérer qu’à La Trinité les conneries de certains constituent les antithèses indispensables à la survenance de synthèses plus intelligibles.

HEGEL aurait pu nous dire que sa philosophie des contraires et de leurs inductions pouvait servir à neutraliser les cons par intégration … sans risque !

Marxou

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