Je n’ai pas eu le temps d’aller assister à cette fameuse séance du conseil municipal mais de bonnes âmes, par ailleurs fort charitables, se sont aimablement chargées de m’en décrire les instants les plus croustillants.
Il parait donc que, comme à son ordinaire, le désormais célébrissime « chevalier » s’est égaré dans des lectures dont le corps des textes (et peut être même leur âme !) lui avaient précieusement été concocté par sa douce fiancée politique .. ou toute autre du même genre !
Il m’a été rapporté que l’exercice de décryptage auquel s’est laborieusement livré le lecteur en question s’est révélé si catastrophique que tout le monde s’est, parait il, posé la question de savoir s’il parvenait à comprendre ce qu’il lisait !
Mais de toute évidence, semble t il, ce qui constitua le clou de la soirée fût les incessants « allers et retours » de ses fidèles « troupiers » parmi les plus inusables (allez savoir pourquoi il n’y a jamais les autres ?), en pleine séance du conseil, en se comportant d’une manière telle que d’aucuns n’auraient jamais osé imaginer que cela puisse se produire en de pareilles circonstances !
Eh oui c’est bien cela le « savoir pas vivre » !
Mais comme disaient nos grands-mères « on a les amis qu’on mérite » (et vice versa !!) et qu’il ne faut jamais apprécier quelqu’un sur ce… « qu’il prétend être, ou pourrait être, mais bien plutôt sur ce qu’il a accompli ou sur ce qu’il fait »..
Et ainsi de cette manière on parvient à se prémunir de toutes désillusions … et notamment de toutes celles que nous infligent tous les individus dont le déficit d’éducation affecte non seulement leur spiritualité mais aussi (et surtout) le simple « savoir vivre » !
Il est vrai que d’après les comptes rendus de cette mémorable soirée, exceptionnelle du fait, surtout, d’une pitoyable entorse aux plus basiques des règles de bienséance, la séance n’aura rien apporté de très positif.
Ceci si on veut bien admettre que les récriminations et ritournelles de certaines de nos égéries communistes, ou similaires par association, ne font plus recette malgrè la très grande agitation qui les conditionne précisément dansl ce but !
En effet les litanies et autres lieux communs qui les expriment et les distinguent résistent particulièrement mal à l’usure du temps et du bon sens !
Je reviendrai ce soir ..
Bernard
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