jeudi 3 juillet 2008

Et s’il n’en reste qu’un je serai celui la !

… et s’il n’en reste pas je serai celui là quand même !

Ainsi aurait pu s’exprimer notre « Zarathoustra » municipal hier soir à l’occasion du pot de départ d’un major de la gendarmerie !

Mais il faut rendre « à qui on voudra » ce qui lui appartient, et, en cette circonstance, il serait inopportun qu’on critique la présence, même affreusement solitaire, de ce grand gourou devant l’éternel !

Mais que ça ne nous empêche pas de souligner le fait que son habituel aréopage de guignols, et autres saltimbanques, ou similaires, se soit résolument interdit de venir soutenir ses rocambolesques salamalecs.

Non hier soir notre « Zarathoustra » n’a pas manqué aux obligations « qu’il croit être les siennes » en représentation de lui-même et pour lui-même… seul !

Il était bien là et même si personne ne lui a fait l’insigne honneur de remarquer sa présence et le formidable aura qu’elle inspire … le devoir d’objectivité nous dicte d’en « faire part »... (sans jeux de mots SVP)

Car enfin, soyons clairs, ce qui importe à ce citoyen c’est de contester les fausses informations relatives à des infirmités culturelles dont ses adversaires l’ont si méchamment affublé !

Il reste que ces manifestations constituent un test de simple popularité et que le seul fait de ne pas être côtoyé autrement que par courtoisie, ou par respect protocolaire, forme un indicateur assez significatif.

Au revoir

Denis

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