Q : On me réaffirme que le contenu de récents « tracts » (pas signés mais d’extractions reconnues) est monté en puissance dans le genre « hyper sordide » !
Très sincèrement je ne pensais pas qu’à La trinité on puisse en arriver à de telles abjections !
D’autant que ce qui sert de langage à ces « faux anonymes » sont d’une rare vulgarité !
J’espère que vous répliquerez en « bonne et due forme » !
R : Non on ne répliquera rien à des tracts anonymes de cette qualité !
En revanche nous répondrons à toutes survenances de propos qui valent la peine qu’on le fasse !
Mais vous savez il ne sert à rien de s’offusquer de ces ignominies !
Ici les choses se passent comme ailleurs ! Et des «voleurs de cacahouètes» il y en a partout !
Mais soyons en conscients, il serait maladroit (pour le moins) de confisquer à quiconque le droit de « voler bas » !
Q : Par conséquent vous n’allez pas « tracter » !
R : En réalité il n’a pas du échapper à votre sagacité que les tracts qui envahissent vos « boîtes » n’apportent rien d’intéressant !
Tout se passe comme si leurs concepteurs (enfin façon de parler) ignoraient de détailler les choses par défaut ! Ou plus simplement par grande incompétence !
Vous ne voudriez tout de même pas que nous dégringolions à ce niveau d’absurdités !
D’autant que les désobligeances qui y sont exprimées sont indignes de l’éthique universelle à laquelle nous entendons rester fidèlement attachés !
Et par ailleurs croyez vous qu’elles reflètent les prétentions affichées par celles et ceux qui en sont les auteurs !
En conclusion nous n’allons pas tracter au sens vulgaire du terme !
Mais cela ne nous prive pas de mettre en œuvre d’autres modes de communication !
Des modes fort heureusement moins polluants et beaucoup plus conformes à l’image que nous souhaitons privilégier et poursuivre pour que La Trinité ne soit pas synonyme de « ringardise » !
Ce que nous nous sommes déjà employés à faire !
Q : Hier vous avez publié des extraits du Conseil de 4 octobre 2007 et ceci a déclenché une avalanche d’interrogations !
Certains ne parvenaient pas à croire que ces interventions avaient pu avoir lieu !
R : Pourquoi ne pas inviter tous ces agnostiques à relire les comptes rendus des Conseils ?
Celui que vous évoquez parait dans le dernier bulletin municipal !
Q : Y en a-t-il d’autres du genre « aussi risible » ?
R : Oui il y en a « satiété » ! D’ailleurs dans le même compte rendu lors des discussions sur la première délibération monsieur Rainero évoque (en « bémol » selon sa propre expression) le « déséquilibre financier » de la commune !
Lorsqu’on lui demande de bien vouloir préciser ce qu’il entendait par « déséquilibre financier » pour en informer légitimement l’assemblée il répond étonnamment « qu’il se comprend et que ça suffit ! ».
Alors entre nous ou bien c’est un dénie de démocratie et ce n’est déjà pas très futé, ou bien c’est un « déficit » tout bête et méchant et alors ça n’est pas « bien » du tout ! (Euphémisme !!)
Q : Tout le monde sait que votre maire est actuellement méchamment et gravement calomnié par l’un des employés parmi les plus anciens et qui aurait (ou aurait eu) les faveurs de certaines très anciennes municipalités avant celle précédent la votre !
Vous ne pouvez pas l’ignorer ! Les colportages sont tellement prompts à s’effectuer à La Trinité !
R : On ne l’ignore pas mais alors là très honnêtement il n’y a rien que nous puissions faire !
Avant nous la personne dont vous parlez (et je crois que nous parlons de la même) avait déjà dit pis que pendre (même pire que ça !) sur son nouveau « gourou » !
C’est vous dire l’état de sa constance et de la pertinence qui en dérive !
Q : Donc vous ne comptez pas essayer d’en savoir davantage !
R : Non pas du tout ! De toute façon et comme on nous le reproche parfois nous ne souhaitons pas du tout faire du forcing de dernière minute !
Notre mission a débuté en 2001 et nous avons fait ce que nous avions à faire !
Celles et ceux qui nous ont fait l’honneur et l’amitié de se tenir informé(e)s de l’évolution des situations respectives savent bien que ça n’a pas été facile !
Aujourd’hui nous ne revendiquons rien d’autre qu’un petite et légitime reconnaissance au regard de ce qui constitue une réussite et un peu d’indulgence pour les réalisations que nous n’avons pas encore été en mesure de conclure !
Q : Mais vos détracteurs habituels ne vont pas se satisfaire de ce que vous avez réussi ! Ils vont surtout critiquer ce que vous n’avez pas fait ou peut être pas assez bien fait !
R : Oui ! D’ailleurs s’ils ne le faisaient pas on ne les dénommerais pas les « détracteurs » !
Ce que nous pensons néanmoins c’est que pour ce que nous savons des quelques réalisations loupées et dont ils furent les malheureux (euphémisme !) instigateurs ils devraient pouvoir « s’auto détracter » aussi et surtout se « fustiger » pour avoir entraîné la municipalité dans une spirale de dépenses pour le moins inadaptées !
On y reviendra chiffres à l’appui s’il en est besoin !
Q : Un des adversaires issu de la dissidence semblent vous attaquer sur le plan de l’urbanisme, du service public et des finances publiques ! Que comptez vous faire ?
R : L’inviter à débattre publiquement sur ces sujets !
A suivre
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