jeudi 21 février 2008

Espace d’échanges : Q/R questions / réponses

Q : Vos boutades sur le « trio de choc » ont fait un tabac !

R : N’exagérons rien !

Vous n’ignorez pas qu’il n’y a rien de plus facile que de se servir des « bouffonneries » de celles et ceux qui prétendent savoir faire sans pouvoir le démontrer !

Il est vrai que se mettre à plusieurs pour débiter autant de sornettes… c’est plutôt rarissime !

Q : En tout cas ces interventions sont « bien tombées » puisqu’elles survenaient concomitamment aux projections pharaoniques de nos dessinateurs préférés !
Il est vrai qu’en essayant de décoder la densité des opérations qui y figurent on se pose vraiment la question de savoir si les prescripteurs ne sont pas tombés sur la tête !
Et comme il se doit on ne nous dit rien sur les financements !
Vous en avez pensé quoi ?

R : Ecoutez tout d’abord pour une fois qu’ils ne caricaturaient pas la femme du maire (pour en diffuser des copies en mairie de son village … à 1000 kilomètres d’ici …) on va quand même pas leur faire un procès de mauvaises intentions !

Ensuite vous n’ignorez pas que l’intention n’est pas critiquable en soi ! Même si elle participe d’une fragilité conceptuelle !

Et nonobstant son caractère aberrant au plan de la faisabilité (puisqu’elle n’est pas démontrée du tout) nous attendons tous la SUITE !

Car vous en conviendrez si cette tentative de séduction par l’absurde n’est pas assortie d’une suite logique et acceptable, notamment en termes d’urbanisme, de compatibilité aux contraintes et … de FINANCEMENT .., tout ce pataquès signifierait qu’on « prend » une fois de plus les trinitaires pour de vulgaires imbéciles !

Franchement nous ne pensons pas que les gens, quelques que puissent être leurs appartenances politiques, socioprofessionnelles ou philosophiques, soient dupés par de telles impérities.

Mais le plus dramatique de tout c’est que les prescripteurs croient toujours que l’audience dont ils sollicitent le suffrage pourrait se laisser convaincre par d’imprécises inepties, fussent elles vaguement crayonnées !

Quoi qu’il en soit nous osons imaginer que lors du DEBAT PUBLIC leur Maître à penser nous fera le grand honneur de nous faire la démonstration des « montages » urbanistiques et financiers susceptible de nous apporter la preuve que les projets qui leur servent de « faire valoir » ne sont pas du PIPEAU !

Q : Madame Drogoul ne semble pas avoir beaucoup apprécié d’avoir été priée de libérer les lieux quelle occupait à titre gracieux pour proposer son « concours » aux gens qui sollicitaient un conseil !
Nous avons pris connaissance d’un tract assez agressif qu’elle diffusait dans les quartiers !

R : Pour ce qui concerne Madame Drogoul il n’y a rien à ajouter que ce qui a déjà été dit !

Le maire, contre les avis de ses proches, avait accepté par amitié, de répondre favorablement à la demande de Madame Drogoul qui semblait prétendre qu’elle avait un impérieux besoin de « sortir de chez elle » pour y poursuivre une quelconque activité !

C’est ainsi qu’elle occupa bénévolement plusieurs fois par mois une partie des bureaux du « rez de chaussée » de l’Hôtel de Ville à l’effet de traiter des demandes d’aides selon ses choix, ses capacités et ses disponibilités.

A ce titre et compte tenu des rapports « amicaux » qui la liaient au maire depuis plusieurs dizaines d’années le dispositif qui paraissait fonctionner à sa satisfaction l’autorisait à des accès dont le caractère particulier imposait de la confidentialité et du discernement !

Tous les « agents » dignes, responsables et respectueux des fonctions publiques qui leur sont assignées connaissent les détails de la déontologie à laquelle ils sont contraints.

Et il n’y a pas de raison que les obligations qui y sont contenues aient été ignorées de Madame Drogoul.

Cela dit sans aucun à priori bien entendu !

Lorsque des indices et autres signes tendent à laisser supposer qu’un agent (ou assimilé) peut avoir failli à ces règles le devoir de leurs hiérarchies directes et respectives consiste prioritairement à assurer la totale protection des dispositifs et de tous les administré(e)s qui y sont subordonné(e)s.

L’ambiguïté peut effectivement résider dans le fait que, parfois, la personne n’étant plus fonctionnellement liée par son état, peut s’abandonner à des libertés (si on n’y prend pas garde) qui auraient pu faire l’objet de sanctions disciplinaires en d’autres circonstances !

Naturellement tout le monde aura bien compris que tout est subordonné au « degré de confiance » et d’intelligence qu’on peut accorder (ou ne pas accorder) aux acteurs protagonistes de tous agissements qui comportent des risque de déloyauté !

Q : Mais qui alors aurait pu « dépêcher » des éléments, non nécessairement confidentiels mais de manière sournoise, déloyale et rocambolesque, concernant l’épouse du maire, auprès de la mairie du village où elle continue d’ailleurs d’être une électrice ?

R : Allez savoir !

Ce sont là des méthodes que nous réprouvons mais auxquelles nous sommes assez régulièrement confronté(e)s comme vous ne l’ignorez pas !

Croyez vous qu’il soit vraiment de bon ton de salir nos boîtes à lettres par des dépôts massifs de tracts anonymes ?

Avez-vous la moindre idée des raisons qui font que leurs auteurs restent dans une espèce d’anonymat très remarqué et qui les autorise à dire n’importe quoi et n’importe comment sans jamais être inquiétés ?

Q : Entendez vous leur répliquer au moins une fois ?

R : Sans doute ! On le fera une seule fois ! Et ça suffira !

A suivre !

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