Oui car à l’évidence ils préfèrent habituellement se regrouper à la fois pour marquer leurs « différences » (et je crois bien que les autres apprécient qu’il en soit ainsi !) pour affronter leurs anciens ami(e)s en tir groupé et pour afficher leurs forces de persuasion (ce qui était franchement inutile puisque les trinitaires sont déjà persuadé(e)s de ce qu’ils ou elles sont ou ont été).
Parmi celles et ceux qui jouent les « suiveurs ou les suiveuses » on en a pas beaucoup remarqué de particulièrement actifs ou actives ( à l’exception de celles ou ceux qui, en s’alpaguant aux manches de quelques notoriétés niçoises, tentent de convaincre que la trahison était le passage obligé, un peu comme la dénonciation des familles juives, en d’autres temps).
Mais bien entendu personne n’est dupe et on a beau tourner autour du pot un traître est un traître et sa condition de traître est très universellement décriée.
Ce qui paraîtrait vraiment pitoyable c’est que des trinitaires d’une autre condition, plus irréprochables à tous égards, projettent de s’acoquiner avec des hordes d’individus dont tout le monde sait qu’ils sont conditionnés par la haine et leurs désirs de vengeance.
Toutefois lorsqu’on parvient à les questionner sur les véritables motifs des désagréments qui les ont conduits a autant de rancune je puis affirmer qu’aucun de ces dissidents (tous sexes confondus) n’a été en capacité de me dire le pourquoi de leur attitude aussi collectivement outrancière.
Cette communauté pourra toujours exprimer ses intolérances et inimitiés mais elle sera incapable d’en justifier les occurrences de manière intelligible.
Je ne parle bien sur pas de leur Gourou de qui personne, bien évidemment, ne s’attend à ce qu’il fournisse des réponses intelligibles. Cela va de soi !
Malheureusement il se trouve que même celles et ceux qui ne l’ont pas « mérité » puissent être atteints et affecté(e)s par les effets d’un espèce d’escalade aux verbes désobligeants dont les plus imbéciles ne parviennent d’ailleurs jamais à bien contrôler les inévitables dérapages.
Le problème étant que dans ces configurations électives et conflictuelles les acteurs les plus ambitieux ne sont inopportunément ni les plus sages (voir étymologie), ni les plus intelligents… ni même les plus aptes à le devenir !
Naturellement ce sont là des atours bien difficiles à valoriser pour faire un bon Chef.
Mais on peut toujours être le CHEF de celles et ceux qui, déjà en l’état, n’en ont pas autant !
Alexandre Anatolie
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