Pourquoi devrait on toujours « prendre des gants » pour essayer de traiter certains individus correctement alors que ces mêmes individus ne craignent pas de maltraiter dès que l’opportunité leur en est offerte.
Prenons pour exemple cet ancien employé de mairie à qui on a fait l’exceptionnelle faveur d’accepter qu’il puisse parfois occuper les locaux de l’Hôtel de Ville pour y recevoir des personnes au regard de ses tentatives de médiation.
Cette espèce de mission bénévole, d’ailleurs beaucoup plus gratifiante pour son attributaire que pour les destinataires à qui s’adressaient les aides et conseils, ne s’est pas soldée par de grands succès connus ou reconnus.
Il est vrai que le seul succès véritable et humaniste consista à fournir à ce prestataire occasionnel la possibilité de ne pas couper trop brutalement les liens ombilicaux qui le reliait encore avec des structures municipales qui l’avaient accueilli pendant de très nombreuses années.
Les choses ne se passaient ni bien, ni mal. Elles se passaient !
Bien entendu on doit à l’honnêteté de dire que les prestations qui faisaient l’objet de cette fonction occasionnelle et bénévole ne s’inscrivaient pas toujours vraiment dans des perspectives prioritaires.
Il est même arrivé que les personnels sollicités ne manifestent aucun empressement à se préoccuper du contenu des dossiers ou rapports qui relataient de certaines des situations assorties de leurs problématiques spécifiques.
Mais c’était ainsi et ça n’avait qu’une importance relative puisque ce qui « importait » surtout c’était que le prestataire puisse effectuer la mission qu’il s’était assigné au titre, essentiellement, d’une espèce d’un respectable « passe temps ».
Quelle ne fut pas notre surprise en apprenant que ce prestataire allait tourner le dos (et le reste) à toutes celles et ceux qui avaient eu la courtoisie de lui offrir la possibilité d’exercer ses inclinations telles qu’il avait eu le désir de le faire.
Mais dans le fond les choix qu’il a fait n’ont rien de surprenant en termes d’éthique.
FAIS DU BIEN A BERTRAND !!
Bertrand Dusentier
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