Une exceptionnelle révélation vient de nous éclairer (par la bande) sur ces étonnants choix et surprenantes dispositions qui consistent à accepter qu’on propulse en tête de certaines listes électorales des individus qui n’ont manifestement aucune capacité à remplir intelligemment et honorablement la fonction qui y est subordonnée.
Mais on nous apprend qu’effectivement ce sont ces profils un peu ringards qui ont été choisis pour seulement faire le sale « travail » exploratoire.
Juste pour voir comment les choses pourraient se passer sans des prises de risques inutiles et dont de malheureuses survenances affecteraient sévèrement l’immense notoriété de celles et ceux qui auraient accepté de s’afficher de manière trop chicanière et trop criarde.
On sait de source sure que ce qui se trame dans la réalité participe d’une manœuvre stratégique plus sournoise et naturellement plus inamicale.
Ceci étant un juste retour des choses.
Cette stratégie se traduirait (dans l’éventualité ou ? ) par la désignation (votée sans délai) d’un autre « premier magistrat » que celui qui croit encore (eh oui) que ses partenaires l’ont « choisi » pour ses compétences, sa culture, son incontestable et inédite intelligence, ses diplômes, son éducation, son honnêteté intellectuelle (et autres qualités qui en dépendent) et son indéfectible sens de l’amitié et ses inclinations à ériger la fidélité en valeur essentielle.
Voila donc ce qui se concocte dans la plus stricte des confidences.
Mais vous n’ignorez pas que lorsqu’on joue les partitions de la discorde « à tout va » s’en s’être assuré de la bonne (et confiante) tenue de ses propres (propres ?) arrières les choses se concluent toujours par des conflits.
D’ailleurs ne trouvez vous pas très curieux que ceux là mêmes qui ont joué la « partition de la trahison » de concert avec d’autres joueurs de pipeau puissent se laisser duper de la même manière qu’ils ont eux-mêmes honteusement trompé leurs compagnons en d’autres temps et lieux.
C’est fou ce que la justice immanente peut être la vraie justice en ce monde politique de dingues !
Julien Verrotery
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