mardi 22 janvier 2008

Obédiences ? lecture « réservée » (carré blanc)

On n’a pas très bien compris ce que pouvait signifier ce «morceau d’architecture» alambiqué qui se rapportait à ce « vocable ».

Et encore moins le fait de sa relation avec des familles qui n’en accepteraient pas les (éventuelles) augures fussent elles utiles à l’amélioration de leurs propres audiences ou au bon développement de celles touchant leurs progénitures !

En revanche ce qu’on a bien compris c’est que celui qui se prévaut de ces « appartenances » philosophiques en public et sans qu’on lui ait expressément prié de le faire ou mandaté à l’effet de la dévoiler dans une perspective spécifique, est un vrai malade mental !

En plus je ne pense réellement pas que celles des « fidèles servantes d’église » qu’il a « soudoyées » (mais pas encore corrompues ?) pour jouer les « factrices et négociatrices » ambulantes soient au parfum de tout cela !

Mais naturellement si elles l’étaient (et que ça leur soit indifférent ou égal) ça mériterait d’être su ! et colporté ! ce qui ne manquera pas peut être d’être le cas ! rien que pour voir !!

Par ailleurs il conviendrait d’ajouter qu’en d’autres époques les épreuves encourues préalablement aux intronisations qui précédaient le titre justifiaient qu’on porte un regard estimable sur celles et ceux qui en subissaient et en surmontaient les difficultés.

Aujourd’hui ces « passages initiatiques » constituent un très vague symbole, très éloigné de tout ce qu’ils représentent.

Par voie de conséquence la qualité de certains des recrutements qui y en résultent relèvent davantage de celle pratiquée au seuil de l’adhésion à un Club Service qu’à l’entrée dans une grande Institution Philosophique.

Il n’ y a qu’à voir qui on parvient à accepter en « pré supposant » que même le dernier des imbéciles pourrait être en position de contribuer utilement à l’application des principes de charité, de fraternité et d’universalité.

Foutaise !

Entre nous il suffit de voir à qui on a « à faire » pour se rendre à l’évidence selon laquelle on ne pourra jamais faire d’un âne un cheval de course !

Fernand Lumière

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