Certains (pas beaucoup) se posent la question de savoir quel pourrait bien être ce « cursus » ?
En consultant le Larousse ou le Petit Robert (rien à voir avec les gros roberts !) par « cursus » il faut entendre « un ensemble d’études par catégorie de discipline ou de matière ».
On se demande si les questions que se posent ces « quelques uns (pas beaucoup) » ne concernent par conséquent pas plutôt un autre vocable, phonétiquement assez proche, et identifié comme étant « CURSEUR » qui, lui, désigne « un petit index qui glisse en coulissant » ?
Naturellement on peut toujours amalgamer les deux fonctions puisque si on laisse tomber l’aspect académique (bien obligé) il reste que les deux fonctions ont pour objet de coulisser ou de faire coulisser une espèce d’index le long d’un « étalon ».
Par voie de conséquence dés lors qu’on a capacité à faire « coulisser » ses prédispositions, toutes catégories confondues, le long d’un étalon gradué en des unités de valeurs universellement reconnues, on peut se prévaloir d’être titulaire d’un « cursus » si ça glisse, ou d’une « tentative de cursus », selon la qualité de la glisse ou l’endroit du blocage.
En conclusion il conviendra de constater quelle a été l’amplitude de la glisse qu’aura effectué l’index sur l’étalon et la conjuguer au temps mis à la parcourir !
On constatera en effet que parfois il se déplace bien, parfois il a du mal à se déplacer mais il y parvient par le double effet de la volonté et de la pertinence.
Quelquefois, plus tragiquement, il coince dès le départ nonobstant l’obstination appliquée à vouloir le faire glisser, et on peut alors affirmer qu’il traduit l’état d’un verdict, désobligeant mais sans appel.
Dans cette dernière hypothèse on ne dit plus rien pour ne vexer personne même si tous les regards vont dans la même direction.
TABALORI EDOUARD
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire